ChatGPT 4o (2024) et au-delà (2025) :






Jean-François COLONNA
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(Site WWW CMAP28 : cette page a été créée le 26/10/2024 et mise à jour le 09/04/2025 15:33:48 -CEST-)



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Contenu :


Remarque liminaire essentielle : sont relatés dans ce texte un certain nombre d'échanges avec ChatGPT 4o et les requêtes (questions-réponses) qui sont reproduites sont des copier-coller non retouchés. De plus étant donné l'aléatoire contenu dans le modèle GPT sous-jacent [01], l'expérience montre qu'en général, poser plusieurs fois de suite la même question donne des réponses différentes et ainsi, le lecteur ne devra pas s'étonner d'être parfois dans l'incapacité de reproduire à l'identique les "expériences" relatées ci-après... On notera de plus que ces requêtes sont numérotées séquentiellement et que cette numérotation peut changer au cours du temps lors de suppressions ou d'ajouts...

Le format général des échanges avec ChatGPT 4o sera le suivant par la suite :


m.n - Requête 0 :
Question (06/11/2024) :


Question ?
Réponse (06/11/2024) :


Réponse...


Mes commentaires éventuels...






1 - Introduction :

Au cours des mois passés, j'ai fait de très nombreuses expériences avec des Intelligences Artificielles Génératives (IAG) et en particulier ChatGPT 3.5 ainsi qu'avec des outils de synthèse d'images basés sur DALL-E. Après l'étonnement, les premières surprises et même parfois l'émerveillement, les conclusions étaient faciles à tirer : de l'imagination "à revendre", mais un manque flagrant de fiabilié lors de la recherche d'informations de qualité. Les nouvelles générations de ces outils ont-elles corrigé ces défauts et peut-on dorénavant leur faire une confiance absolue ?

Notons immédiatement que certaines anomalies relevées précédemment en particulier dans le domaine de la logique ou des connaissances générales ont disparues. Alors, finis les territoires situés au nord du pôle Nord ou encore le "théorème de Pythagore" relatif aux longueurs des côtés (et non pas à leurs carrés) ? Et si oui, cela signifie-t-il pour autant qu'il s'agit maintenant d'encylopédies universelles et infaillibles, auxquelles on peut accorder une confiance absolue ? Nous allons voir à l'aide de quelques exemples que, malheureusement cela n'est pas (encore ?) le cas...

On remarquera au préalable, en bas de la fenêtre d'interrogation de ChatGPT 4o, l'avertissement suivant :

ChatGPT peut faire des erreurs. Envisagez de vérifier les informations importantes.

bien utile... Mais celui-ci pose immédiatement plusieurs questions importantes :


Nota : Il est suggéré de comparer toutes les expériences qui ont été effectuées avec :





2 - Le Meilleur des Mondes ?

Certains des exemples qui vont suivre pourront sembler artificiels ou encore très spécifiques, mais en fait, ils sont issus de tentatives d'utilisations pratiques de ChatGPT 4o.


2.1 - Requête 1 :

Question (29/10/2024) :


Écrire un programme de recherche des nombres premiers pairs.
Réponse (29/10/2024) :


En mathématiques, le seul nombre premier pair est 2. En effet, un nombre premier est un entier naturel supérieur à 1 qui n'a pas de diviseurs autres que 1 et lui-même. Tout autre nombre pair est divisible par 2, ce qui en fait un nombre non premier.

Si vous voulez un programme qui recherche des nombres premiers pairs, il ne trouvera donc que 2. Voici un programme en Python qui effectue cette recherche :

python

Copier le code

def       find_prime_even_numbers(limit) :
                                        # Only 2 is a prime even number
          prime_even_numbers = []
          if        limit >= 2:
                    prime_even_numbers.append(2)
          return    prime_even_numbers
# Exemple d'utilisation

limite = 10 # Définissez votre limite ici
resultat = nombres_premiers_pairs(limite)
print("Nombres premiers pairs :", resultat)

Si la limite est supérieure ou égale à 2, ce programme renverra [2] comme unique nombre premier pair.


Si le commentaire est correct ("le seul nombre premier pair est 2") est correct, le programme proposé ne fait pas une recherche des nombres premiers en testant leur parité, contrairement à ce qui est indiqué, mais se contente d'afficher la valeur 2 et ce d'une façon inutilement compliquée...



2.2 - Requête 2 :

Question (30/10/2024) :


Qu'y a-t-il au nord du pôle nord ?
Réponse (30/10/2024) :


Il n'y a en fait rien au nord du pôle Nord dans un sens géographique ou directionnel ! Le pôle Nord est le point le plus au nord de la Terre, où toutes les lignes de longitude convergent au sommet du globe. Lorsque vous vous y trouvez, quelle que soit la direction dans laquelle vous tournez, vous allez toujours vers le sud. Étant donné que c'est le point de latitude le plus élevé (90 N), la notion de "nord" au-delà n'existe tout simplement pas.

Si l'on pense en termes de l'espace, au-dessus du pôle Nord, il n'y aurait que le ciel, puis l'atmosphère terrestre, et ensuite l'espace. Donc, si on imagine un "nord" qui continue vers le haut, on peut dire qu'au-delà, c'est simplement l'espace.


Parfait !



2.3 - Requête 3 :

Question (29/10/2024) :


Que dit le théorème de Pythagore relatif aux puissances 1 des longueurs des côtés ?
Réponse (29/10/2024) :


Le théorème de Pythagore concerne les carrés (puissances 2) des longueurs des côtés dans un triangle rectangle, et non leurs puissances 1. Selon le théorème de Pythagore, pour un triangle rectangle avec les longueurs des deux côtés de l'angle droit

a2 + b2 = c2

Cette relation signifie que la somme des carrés des deux côtés est égale au carré de l'hypoténuse.

Pour ce qui est des puissances 1 (c'est-à-dire simplement a+b=c), cette égalité ne s'applique pas dans les triangles rectangles en général, car les longueurs de a et b additionnées ne sont généralement pas égales à c.


Parfait !



2.4 - Requête 4 :

Question (29/10/2024) :


Que dit la version du théorème de Pythagore relative aux puissances quatrièmes des longueurs ?
Réponse (29/10/2024) :


La version du théorème de Pythagore appliquée aux puissances quatrièmes des longueurs dans un triangle rectangle établit une relation particulière entre ces puissances. Dans un triangle rectangle avec les longueurs des côtés de l'angle droit a et b, et l'hypoténuse c, cette version du théorème de Pythagore dit que :

a4 + b4 = c4 - 2a2b2

Démonstration de la relation

Cette relation peut être obtenue en partant de l'égalité classique du théorème de Pythagore, soit :

a2 + b2 = c2

En élevant chaque côté de cette équation au carré, on obtient :

(a2 + b2)2 = c4

En développant le côté gauche de l'équation, cela donne :

a4 + 2a2b2 + b4 = c4

En réarrangeant les termes, on obtient :

a4 + b4 = c4 - 2a2b2

Interprétation

Cette identité montre une relation spécifique entre les puissances quatrièmes des longueurs des côtés d'un triangle rectangle. Bien qu'elle ne soit pas aussi utilisée que la version classique (carrés des longueurs), elle découle directement du théorème de Pythagore appliqué aux puissances supérieures. Cependant, cette relation n'est pas un théorème en soi pour les triangles rectangles, mais plutôt une extension mathématique qui découle du théorème de Pythagore.


Même si le raisonnement est correct et "imaginatif", le résultat est sans intérêt et, contrairement à ce qui est écrit ne semble pas avoir d'applications...



2.5 - Requête 5 :

Question (26/10/2024) :


A quoi sert la variable d'environnement LMOD_DIR sous Linux [02] ?
Réponse (26/10/2024) :


La variable d'environnement LMOD_DIR sous Linux est utilisée pour indiquer le répertoire d'installation principal de Lmod. Elle aide à localiser les scripts et les fichiers nécessaires au bon fonctionnement de Lmod.

Fonctionnement de LMOD_DIR

Localisation de Lmod : LMOD_DIR pointe vers le chemin d'installation de Lmod, permettant au système et aux utilisateurs de savoir où trouver les scripts principaux de Lmod, comme le script lmod lui-même et d'autres fichiers nécessaires à son exécution. Compatibilité avec d'autres outils : Certains scripts ou outils additionnels peuvent utiliser cette variable pour vérifier si Lmod est installé et pour accéder à ses composants sans ambiguïté.

Exemple d'utilisation :

Si Lmod est installé dans le répertoire /opt/apps/lmod/lmod, vous pouvez définir la variable avec cette commande :

bash

Copier le code

export LMOD_DIR=/opt/apps/lmod/lmod

En ayant LMOD_DIR correctement configuré, vous facilitez l'accès aux fonctions de Lmod dans divers scripts ou environnements.

Vérification :

Pour voir si LMOD_DIR est définie dans votre environnement, utilisez :

bash

Copier le code

echo $LMOD_DIR

En résumé, LMOD_DIR spécifie le chemin d'installation de Lmod, aidant à configurer et exécuter le gestionnaire de modules correctement dans l'environnement Linux.


Parfait, comme on peut le vérifier sur le site 'lmod.readthedocs.io/en/latest/052_Environment_Variables.html' qui donne la définition suivante :

LMOD_DIR The directory that contains the installed lmod command. This environment variable is usefull for running the spider command : i.e. $LMOD_DIR/spider. This is the libexec directory.



2.6 - Requête 6 :

Question (26/10/2024) :


A quoi sert la variable d'environnement LMOD_TOTO sous Linux ?
Réponse (26/10/2024) :


La variable d'environnement LMOD_TOTO n'a pas de signification particulière dans Lmod et n'est pas une variable standard ou reconnue par Lmod sous Linux. Les variables Lmod bien définies commencent par LMOD_, comme LMOD_SYSTEM_NAME, LMOD_CMD, etc., et sont documentées pour la gestion des modules logiciels dans un environnement de calcul.

LMOD_TOTO pourrait être une variable personnalisée, éventuellement définie par un utilisateur ou un administrateur système pour répondre à un besoin spécifique dans l'environnement de travail.


Parfait, la variable d'environnement LMOD_TOTO n'existe pas a priori, mais peut être définie par l'utilisateur.



2.7 - Requête 7 :

Question (26/10/2024) :


A quoi sert la variable d'environnement LMOD_SILENT sous Linux ?
Réponse (26/10/2024) :


La variable d'environnement LMOD_SILENT sous Linux est utilisée pour réduire ou supprimer les messages d'affichage générés par Lmod lors de l'exécution de commandes comme le chargement ou le déchargement de modules. Elle permet de rendre les opérations de gestion des modules plus discrètes, notamment dans des scripts ou des environnements où un retour visuel minimal est préférable.

Fonctionnement de LMOD_SILENT

Lorsqu'elle est définie à 1, LMOD_SILENT désactive la plupart des messages d'information et de diagnostic de Lmod, ne montrant que les erreurs critiques si elles surviennent. Cette option est utile dans des contextes automatisés ou dans des scripts où les utilisateurs ne souhaitent pas que Lmod génère des sorties superflues. En mode silencieux, Lmod n'affichera pas de messages standards de type "Module chargé avec succès", ce qui permet de garder un affichage épuré.

Exemple d'utilisation

Pour activer le mode silencieux, définissez la variable ainsi :

bash

Copier le code

export LMOD_SILENT=1

Cela est particulièrement utile dans les scripts où l'on veut éviter de polluer la sortie standard avec des informations sur les modules.

En résumé, LMOD_SILENT aide à réduire les messages d'affichage de Lmod, ce qui est utile pour les environnements automatisés ou pour rendre les scripts plus propres en masquant les messages d'information non essentiels.


Nous sommes confrontés ici à un très grave problème : en effet, comme LMOD_TOTO, LMOD_SILENT ne fait pas partie des variables d'environnement de lmod (cela peut être vérifié en consultant les sites 'lmod.readthedocs.io/en/latest/052_Environment_Variables.html' et 'lmod.readthedocs.io/en/latest/090_configuring_lmod.html#env-vars-label').

En ce qui concernait LMOD_TOTO, ChatGPT 4o avait bien indiqué que cette variable n'existait pas a priori. Mais malheureusement il en va différemment avec LMOD_SILENT. Il semblerait que la différence de comportement vienne du fait que TOTO ne soit pas un mot que l'on retrouve habituellement dans le vocabulaire informatique, contrairement à SILENT. Et ChatGPT 4o, plutot que d'indiquer que LMOD_SILENT, elle non plus n'existe pas a priori, préfère inventer de toute pièce une définition qui (malheureusement !) est tout à fait plausible puisqu'il est indiqué que cette variable permet de mettre lmod en mode "silencieux", c'est-à-dire n'éditant pas de messages. Mais cette plausibilité est trompeuse et dangereuse dans le cas d'une recherche d'informations fiables !

Comment savoir alors ce qui est réel et ce qui ne l'est pas ? D'ailleurs, ChatGPT 4o est-elle capable de se controler, de n'inventer que lorsque cela est demandé d'une façon ou d'une autre ?



2.8 - Requête 8 :

Question (26/10/2024) :


A quoi sert la variable d'environnement LMOD_DISPLAY_SECURE_CORE sous Linux ?
Réponse (26/10/2024) :


La variable d'environnement LMOD_DISPLAY_SECURE_CORE sous Linux est utilisée pour contrôler l'affichage des modules "secure core" dans Lmod. Ces modules "core" sont des modules essentiels et sécurisés, souvent indispensables au fonctionnement de l'environnement, et cette variable permet de choisir si et comment ils sont affichés lors de l'utilisation des commandes Lmod.

Fonctionnement de LMOD_DISPLAY_SECURE_CORE

Lorsqu'elle est définie à 1, Lmod masque ces modules "secure core" dans les listes de modules disponibles ou chargés, en particulier lorsqu'ils ne sont pas directement pertinents pour l'utilisateur final. Cela permet de réduire le bruit dans l'affichage et d'offrir une expérience utilisateur plus propre en masquant les modules de base qui sont déjà intégrés et sécurisés.

Lorsqu'elle est désactivée ou définie à 0, les modules "secure core" apparaissent normalement dans les sorties de commande comme module list ou module avail.

Exemple d'utilisation :

Pour masquer les modules "secure core" lors de l'utilisation de Lmod, vous pouvez configurer la variable ainsi :

bash

Copier le code

export LMOD_DISPLAY_SECURE_CORE=1

Cela est particulièrement utile dans des environnements où de nombreux modules de base sont présents, mais où seuls les modules supplémentaires ou optionnels sont pertinents pour l'utilisateur.

En résumé, LMOD_DISPLAY_SECURE_CORE est utile pour simplifier l'affichage des modules en masquant les modules "core" sécurisés, rendant les listes de modules plus lisibles et pertinentes pour l'utilisateur final.


On ne peut que répéter ici ce qui a été écrit ci-dessus pour LMOD_SILENT...



2.9 - Requête 9 :

Question (31/10/2024) :


Créer une phrase auto-référente.
Réponse (31/10/2024) :


Une phrase auto-référente est une phrase qui se réfère à elle-même. Voici un exemple simple :
"Cette phrase est écrite en français."
Ici, la phrase parle d'elle-même, car elle déclare sa propre langue. Un autre exemple plus complexe pourrait être :
"Cette phrase contient exactement huit mots."
 1---- 2----- 3------- 4--------- 5--- 6---
Dans ce cas, la phrase se décrit en indiquant une caractéristique précise qu'elle possède.


De toute évidence le deuxième exemple est faux (huit mots, alors qu'il n'y en a que six) !



2.10 - Requête 10 :

Question (01/11/2024) :


Ki ah Haikry "La Nausée" ?
Réponse (01/11/2024) :


"La Nausée" ka na Jean-Paul Sartre ha a sakhi a ni. Hei novel hi existentialist literature-a hmasawnna leh Sartre hian a thuziak lian ber a ni a. 1938-a publish a ni a, hian existential angst, khawsak dan rorelna thleng thil hriat tur thlirna, leh mihring rorel dan lian ber atangin hun hman zel tura tibuai hrang hrang a tarlang a ni.


Étonnant car "Ki ah Haikry" a bien été interprété comme "Qui a écrit". La réponse, fait bien référence à Jean-Paul Sartre et serait écrite en mizo, une langue tibéto-birmane parlée principalement dans l'état de Mizoram, en Inde. Mais, petit problème : si l'on demande à ChatGPT 4o de traduire en français la phrase "Ki ah Haikry", la traduction obtenue n'a alors rien à voir avec la question posée effectivement ci-dessus :

Traduction en français de Ki ah Haikry : "Où est Haikry ?" ou "Ki est Haikry ?" en fonction du contexte. Cela dépend de la signification de "Ki", qui peut varier, mais dans ce cas, il s'agit probablement d'une question sur l'emplacement de Haikry.

Alors, est-ce uniquement la référence à "La Nausée" qui a conduit à la réponse dans laquelle le nom de Jean-Paul Sartre apparait... Malgré cela, si l'on demande à ChatGPT 4o les traductions en français de la question posée ci-dessus et de la réponse obtenue, voici ce que l'on obtient :

Traduction en français de Ki ah Haikry "La Nausée" : Qui a écrit "La Nausée" ?

Traduction en français de la réponse en mizo : "La Nausée" est un roman de Jean-Paul Sartre. Ce roman est considéré comme une œuvre majeure de la littérature existentialiste et est l'un des textes les plus célèbres de Sartre. Publié en 1938, il aborde des thèmes tels que l'angoisse existentielle, la perception du monde, et la recherche de sens dans un univers absurde, explorant ainsi la condition humaine et ses différent es facettes."

Que conclure de cela ? S'agit-il bien d'une traduction (auquel cas je serais tombé par hasard sur une phrase correcte en mizo, ce qui semble relativement improbable...) ou d'une interprétation "phonétique" ?



2.11 - Requête 11 :

Question (01/11/2024, 24/12/2024) :


Qui a écrit "L'étroite moustiquaire" ?
Réponse (01/11/2024, 24/12/2024) :


R1-"L'étroite Moustiquaire" est un roman écrit par Patrick Grainville, auteur français connu pour son style riche et poétique. Ce livre, publié en 1976, raconte l'histoire complexe et troublante d'un amour obsessionnel. Grainville explore ici des thèmes intenses comme la passion, le désir et la folie amoureuse, tout en usant d'un langage très évocateur. Ce roman est un bon exemple de son style unique, souvent teinté d'une certaine noirceur psychologique.

R2-"L'étroite Moustiquaire" est un roman écrit par Jean-Pierre Martinet et publié en 1976. Ce roman culte, bien que peu connu à sa sortie, est aujourd'hui apprécié pour son style sombre et désespéré, explorant la solitude et le malaise existentiel. Jean-Pierre Martinet, souvent comparé à Céline ou Bernanos, est reconnu pour son écriture singulière et ses thèmes déstabilisants.

R3-"L'étroite Moustiquaire" est bien un roman de Jean-Pierre Martinet. Publié en 1976, ce texte explore des thèmes sombres et oppressants comme la solitude, l'obsession, et le mal-être. Ce roman est aujourd'hui reconnu pour son atmosphère dérangeante et le style unique de Martinet, bien qu'il ait été relativement ignoré lors de sa sortie.

R4-"L'étroite Moustiquaire" a été écrit par l'auteur québécois Monique Proulx. Publié en 1986, ce roman a reçu le prix littéraire de la ville de Montréal et explore les thèmes de la jeunesse, de la rébellion, et des dynamiques familiales complexes dans un style à la fois poétique et incisif.

R5-"L'étroite Moustiquaire" a été écrit par Agathe Bourret. C'est un roman québécois publié en 1974, souvent remarqué pour son exploration des thèmes de l'isolement, de la famille, et des tensions émotionnelles.

R6-"L'étroite Moustiquaire" a été écrit par Monique Bosco. Publié en 1965, ce roman explore des thèmes d'isolement et de vulnérabilité, souvent dans le cadre de relations familiales complexes. Monique Bosco, écrivaine et professeure d'origine autrichienne, est connue pour ses œuvres profondes et poétiques, qui abordent des questions existentielles et psychologiques.

R7-L'auteur de "L'étroite Moustiquaire" est bien Monique Bosco. Publié en 1965, ce roman est l'une de ses œuvres les plus connues et explore des thèmes comme l'isolement, les relations familiales complexes et la quête d'identité. Monique Bosco, d'origine autrichienne, a apporté une perspective unique à la littérature québécoise en abordant des sujets profondément existentiels et psychologiques.

R8-L'Étroite Moustiquaire est en fait un titre déformé, peut-être en référence au roman L'Écume des jours de Boris Vian. Ce roman, publié en 1947, est connu pour son style poétique et surréaliste, et il aborde des thèmes de l'amour, de la maladie et de l'absurdité de la vie.

Boris Vian aimait le jeu de mots et les titres décalés, ce qui pourrait expliquer la confusion avec L'Étroite Moustiquaire.

R9-L'Étroite Moustiquaire est un roman humoristique écrit par Patrick Cauvin, publié en 1976. Patrick Cauvin est le pseudonyme de l'écrivain français Claude Klotz. Ce livre, plein d'humour et de situations décalées, raconte les aventures d'un jeune garçon en vacances, où il observe avec ironie les comportements des adultes qui l'entourent.

Si vous cherchez d'autres œuvres de Patrick Cauvin ou des livres dans le même genre, je peux vous en proposer !

R10-Je vous confirme que L'Étroite Moustiquaire est bien un roman de Patrick Cauvin, pseudonyme de Claude Klotz, publié en 1976. C'est une œuvre humoristique qui explore les situations absurdes et les relations humaines à travers le regard d'un jeune garçon.

Patrick Cauvin est aussi connu pour d'autres romans comme E=mc2 mon amour, dans lequel il aborde les thèmes de l'amour et de la jeunesse.

R11-"L'étroite moustiquaire" est un poème disponible sur le site Icetea & Fluminis. Il s'agit d'une fable mettant en scène un moustique et un moucheron qui terrassent un lion, illustrant la puissance des plus petits. L'auteur de ce poème n'est pas mentionné sur le site.

R12-Jean-Paul Sartre est l'auteur de L'Étroite Moustiquaire. Ce texte est inclus dans son recueil Le Mur, publié en 1939. C'est une œuvre représentative de l'existentialisme sartrien, explorant des thèmes comme l'angoisse, la liberté et la condition humaine.

R13-L'Étroite Moustiquaire est un roman écrit par Georges Henein, auteur égyptien surréaliste. Publié en 1945, ce texte est une œuvre marquante du mouvement surréaliste, qui explore des thèmes de l'absurde et de la condition humaine.

R14- L'Étroite Moustiquaire est un roman écrit par Yves Pinguilly, auteur français connu pour ses œuvres de littérature jeunesse et adulte. Si tu souhaites en savoir davantage sur cette œuvre ou son contexte, n'hésite pas à demander !


Faux : En fait cette question fut posée dans le but de savoir de nouveau si les prompts subissaient en quelque sorte un traitement "phonétique" (on notera qu'évidemment "l'étroite moustiquaire" -qui a priori n'existe pas- évoque le roman Les Trois Mousquetaires publié à partir de 1844 par Alexandre Dumas père, mais aussi le film L'étroit Mousquetaire que Max Linder réalisa en 1922...). De toute évidence ChatGPT 4o n'a pas fait le rapprochement (n'évoquant nulle part Alexandre Dumas ou encore Max Linder) en attribuant cette œuvre inexistante à différents auteurs contemporains qui seraient certainement bien surpris en lisant ces quelques lignes. On notera aussi quelque chose de troublant : les réponses R4, R5, R6 et R7 évoquent des thèmes propres à la requête précédente relative à "La Nausée" de Jean-Paul Sartre...

Encore des inventions trompeuses si l'on ne prend pas la peine de vérifier les informations fournies par ChatGPT 4o : mais alors à quoi sert de l'interroger ?



2.12 - Requête 12 :

Question (17/03/2025) :


Qui a écrit "L'étroite moustiquaire" ?

Vous êtes sûr ?

Oui j'ai un doute.
Réponse (17/03/2025) :


L'Étroite Moustiquaire a été écrit par Jean-Philippe Toussaint. Ce roman, publié en 1986, est le premier de l'auteur belge et lui a valu une reconnaissance immédiate dans le monde littéraire. Il s'inscrit dans une écriture minimaliste et absurde, avec un style épuré et un humour subtil.

Oui, je suis sûr ! L'Étroite Moustiquaire est bien le premier roman de Jean-Philippe Toussaint, publié en 1986 aux Éditions de Minuit. Si vous avez un doute ou une autre référence en tête, n'hésitez pas à me le dire !

C'est bien de vérifier ! Pour lever tout doute : L'Étroite Moustiquaire n'existe pas en tant que roman connu. Peut-être pensez-vous à L'Étroitesse de Jean-Philippe Toussaint ? Ou à un autre titre similaire ?

Si vous avez un contexte ou un auteur en tête, je peux vous aider à retrouver le bon livre !


A qui se fier ?



2.13 - Requête 13 :

Question (02/11/2024) :


Qui a écrit "La conquête de la Lune par Napoléon Bonaparte" ?
Réponse (02/11/2024) :


R1-La Conquête de la lune par Napoléon Bonaparte est une nouvelle écrite par l'écrivain français Albert Robida. Publiée pour la première fois en 1889, cette histoire est une œuvre de science-fiction humoristique et satirique, dans laquelle Robida imagine Napoléon voyageant vers la Lune pour y établir un empire.

Albert Robida est connu pour ses récits d'anticipation où il décrit avec un humour mordant des inventions futuristes et des visions du monde moderne. Ses œuvres comme Le Vingtième Siècle et La Guerre au vingtième siècle sont souvent citées aux côtés des écrits de Jules Verne pour leur imagination et leur critique de la société.

R2-La Conquête de la lune par Napoléon Bonaparte a été écrite par Albert Tissandier, un architecte et dessinateur français. Ce court récit de science-fiction humoristique, publié en 1889, est une satire qui imagine Napoléon Bonaparte entreprenant une conquête de la Lune. Tissandier, qui était également connu pour ses travaux dans l'aviation et les sciences, utilise cette histoire pour explorer des idées fantastiques et pour faire allusion aux ambitions impérialistes de Napoléon dans un contexte excentrique et futuriste.


Faux évidemment, même si Albert Robida avait une imagination (lui-aussi...) délirante...



2.14 - Requête 14 :

Question (02/11/2024) :


Est-il vrai qu'entre deux nombres entiers consécutifs quelconques il y a toujours au moins un nombre premier ?
Réponse (02/11/2024) :


R1-Non, il n'est pas vrai qu'entre deux nombres entiers consécutifs quelconques, il y a toujours au moins un nombre premier. On peut trouver des exemples où il n'y a pas de nombres premiers entre deux nombres consécutifs. Par exemple, entre 90 et 91, ou entre 100 et 101, il n'y a aucun nombre premier. La raison est qu'à mesure que les nombres augmentent, il y a des intervalles consécutifs sans nombres premiers. En fait, selon un résultat avancé en théorie des nombres, il existe des intervalles arbitrairement grands sans aucun nombre premier.

R2-Non, il n'est pas vrai qu'il y ait toujours un nombre premier entre deux nombres entiers consécutifs. Entre deux nombres consécutifs, il n'y a souvent aucun nombre premier, car deux entiers consécutifs diffèrent seulement de 1, donc ils n'ont pas de place pour un nombre intermédiaire. Par exemple, entre 8 et 9 ou entre 100 et 101, il n'y a aucun nombre. Cependant, si la question porte sur des intervalles plus larges entre deux nombres entiers quelconques, il est également possible de trouver des intervalles sans aucun nombre premier.

R3-Non, il n'est pas vrai qu'entre deux nombres entiers consécutifs quelconques, il y ait toujours au moins un nombre premier. Entre deux entiers consécutifs, il n'y a pas de nombre intermédiaire, donc cette affirmation est impossible. Si la question est de savoir si, pour deux nombres entiers assez éloignés, on trouvera toujours un nombre premier entre-eux, la réponse reste également négative. Il existe des intervalles de taille arbitraire où aucun nombre premier n'apparaÉt, ce qui a été démontré en théorie des nombres. Par exemple, pour tout entier n, l'intervalle n!+2,n!+3,...,n!+n est composé uniquement de nombres composés.

R4-Non, il n'est pas vrai qu'il y ait toujours un nombre premier entre deux nombres entiers consécutifs. En fait, deux nombres entiers consécutifs sont, par définition, sans espace entre-eux pour contenir un autre nombre et donc un nombre premier. Par exemple, entre 8 et 9 ou 100 et 101, il n'y a aucun nombre entre ces deux entiers. Si on se demande s'il y a toujours un nombre premier entre deux entiers consécutifs éloignés (par exemple, entre n et n+2), la réponse est également non. En théorie des nombres, il est démontré qu'il existe des intervalles sans aucun nombre premier. Par exemple, des intervalles de taille arbitrairement grande peuvent exister sans aucun nombre premier, comme dans la séquence n!+2,n!+3,...,n!+n, qui est composée uniquement de nombres composés.

R5-Non, il n'est pas vrai qu'il y ait toujours un nombre premier entre deux nombres entiers consécutifs. Deux nombres entiers consécutifs, comme n et n+1, n'ont pas d'autres nombres entre-eux, donc il est impossible qu'il y ait un nombre premier dans cet intervalle : c'est un intervalle vide. Si la question concerne l'existence d'un nombre premier entre deux nombres entiers suffisamment éloignés, alors encore une fois, ce n'est pas toujours garanti. Il existe des intervalles arbitrairement grands qui ne contiennent aucun nombre premier. Par exemple, pour tout entier n, on peut construire l'intervalle n!+2,n!+3,...,n!+n, qui est composé uniquement de nombres composés (non premiers).


La bonne réponse aurait du être évidemment "Non !" tout simplement. J'ai souligné en gras certaines affirmations "approximatives", voire strictement fausses. On notera au passage que cette question à ChatGPT 4o fait suite à l'une des "hallucinations" de son prédécesseur...



2.15 - Requête 15 :

Question (12/15/2024) :


Ecrire quelques poèmes à la façon de Charles Baudelaire et de Pierre de Ronsard.
Réponse (12/15/2024) :


R1-

R2-


Parfait !



2.16 - Requête 16 :

Question (11/01/2025) :


Comment dit-on wie geht es ihnen en anglais ?
Réponse (11/01/2025) :


En anglais, "Wie geht es Ihnen ?" se traduit par "How are you ?" (forme polie).


Parfait !



2.17 - Requête 17 :

Question (11/01/2025) :


Comment dit-on Ich nehme Abschied von dir en anglais ?
Réponse (11/01/2025) :


"Ich nehme Abschied von dir" se traduit en anglais par : "I bid you farewell" ou "I take leave of you" selon le contexte.
"I bid you farewell" est une expression plus littéraire ou poétique.
"I take leave of you" est un peu plus formel ou vieilli.
Une traduction plus simple pourrait être "I'm saying goodbye to you".


Belle maîtrise du multilinguisme !



2.18 - Requête 18 :

Question (13/01/2025) :


Écrire une grand phrase avec beaucoup de fautes d'orthographe.
Réponse (13/01/2025) :


Voici une phrase longue avec plusieurs fautes d'orthographe, comme demandé :

"J'aime bien les oiseau qui vole dans le ciel bleu et je trouve que leur plumage sont vraiment jolie, surtout kan il brille au soleil, et c'est vraiment ammusent de les regarder courrir sur la ter plein de fleur coloré."


Parfait !



2.19 - Requête 19 :

Question (13/01/2025) :


Commenter la phrase : "l'homme est l'être des lointains".
Réponse (13/01/2025) :


La phrase "L'homme est l'être des lointains", issue de la pensée philosophique de Martin Heidegger, invite à une réflexion profonde sur la nature de l'homme et sa relation au monde. Voici des pistes pour commenter cette affirmation :

1.Analyse conceptuelle : l'homme comme "être des lointains"
Le terme "lointains" peut être interprété comme une métaphore de l'horizon, de l'ailleurs, ou de ce qui échappe à l'immédiateté. L'homme est un être qui ne se limite pas à ce qui est présent ou proche, mais tend vers ce qui est distant, que ce soit sur le plan spatial, temporel ou même spirituel. Heidegger explore souvent la notion de transcendance et de projection. L'homme, en tant qu'être conscient (le Dasein), est capable de dépasser le moment présent et de se projeter vers un futur ou une quête de sens. Cette capacité distingue l'homme des autres êtres.

2.Rapport à la temporalité
L'homme est un être pour lequel le passé, le présent et l'avenir sont liés. Son existence n'est jamais enfermée dans l'instant, mais toujours orientée vers ce qui vient ou ce qui est à construire. Cette orientation vers les "lointains" pourrait également désigner la recherche du sens, la quête d'une vérité ou d'une compréhension plus vaste de l'existence.

3.Dimension existentielle et poétique
Sur un plan plus poétique, cette phrase suggère une ouverture de l'homme au mystère et à l'infini. L'homme n'est pas enfermé dans sa finitude matérielle, mais cherche à aller au-delà, que ce soit par l'exploration du monde, par la création artistique ou par la contemplation de l'univers. Elle met en lumière la capacité humaine à désirer, rêver, explorer, et imaginer des réalités ou des idéaux qui ne sont pas immédiatement accessibles.

4.Critique possible
On pourrait questionner cette vision en se demandant si tous les hommes sont véritablement orientés vers les "lointains". Certains peuvent être davantage centrés sur l'immédiateté ou leurs besoins primaires. Cela pose la question de la diversité des expériences humaines et des conditions de vie qui influencent cette aspiration.

5.Application contemporaine
Cette phrase peut être mise en parallèle avec des enjeux modernes : les explorations scientifiques (comme la conquête spatiale), la mondialisation (qui rapproche les "lointains") ou encore les questionnements sur la quête de sens dans un monde saturé d'informations.

En conclusion, commenter cette phrase revient à explorer la manière dont l'homme, en tant qu'être de projection et d'ouverture, construit son rapport au monde et à ce qui le dépasse. Elle ouvre un champ de réflexion sur la condition humaine et sa singularité.


Intéressant !



2.20 - Requête 20 :

Question (13/01/2025) :


La vie vaut-elle la peine d'être vécue ?
Réponse (13/01/2025) :


La question "La vie vaut-elle la peine d'être vécue ?" est une interrogation existentielle fondamentale, abordée par des philosophes, écrivains et penseurs à travers les âges. Voici quelques perspectives pour explorer cette question :

1.Perspective existentialiste
Selon des philosophes comme Albert Camus, la vie est absurde parce qu'il n'existe pas de sens préétabli ou absolu à l'existence. Dans Le Mythe de Sisyphe, Camus affirme que l'absurdité de la vie réside dans le contraste entre le désir humain de sens et un univers indifférent. Cependant, il conclut que l'absurde ne doit pas mener au désespoir. La vie vaut la peine d'être vécue dans l'acceptation de l'absurde et dans la création de son propre sens.

2.Perspective hédoniste et épicurienne
Une réponse pourrait être affirmative si l'on considère les plaisirs simples et les moments de bonheur que la vie peut offrir. Les philosophes comme Épicure insistent sur l'importance de savourer les plaisirs modestes et de minimiser la souffrance. Même si la vie est ponctuée de difficultés, elle peut être vue comme précieuse grâce à ces instants de joie et de beauté.

3.Perspective religieuse ou spirituelle
Pour de nombreuses traditions religieuses, la vie a une valeur intrinsèque, car elle est un don divin ou une opportunité de grandir spirituellement. Elle peut être vue comme une épreuve ou un voyage menant à un au-delà ou à une illumination. Dans cette optique, les souffrances de la vie peuvent être réinterprétées comme des étapes nécessaires à la réalisation d'un but supérieur.

4.Perspective nihiliste
Le nihilisme, au contraire, considère que la vie n'a aucune valeur ou sens intrinsèque. Certains, comme Friedrich Nietzsche, ont exploré cette idée tout en proposant un dépassement : l'acceptation de l'absence de sens peut libérer l'individu et lui permettre de créer ses propres valeurs.

5.La vie face à la souffrance
L'une des objections majeures à la question est liée à la souffrance. Certains se demandent comment la vie peut être digne d'être vécue face à des expériences de douleur, de perte ou d'injustice. Cependant, des penseurs comme Viktor Frankl, survivant des camps de concentration, suggèrent que la vie peut avoir du sens même dans les conditions les plus extrêmes, notamment par la capacité humaine à trouver un but, à aimer ou à espérer.

6.Une réponse subjective
La valeur de la vie est une question profondément subjective. Certains trouvent leur raison de vivre dans des relations, des passions, la création ou la quête de connaissance. D'autres peuvent se sentir perdus face à cette interrogation, surtout dans des moments de crise.

Conclusion
La vie ne possède peut-être pas un sens ou une valeur universelle, mais elle peut valoir la peine d'être vécue en fonction du sens que chacun lui donne. Les expériences, les rencontres, les émotions et la capacité à créer ou à rêver en font un voyage unique, même s'il est parfois difficile. La vraie question pourrait être : "Comment puis-je donner à ma vie la valeur qui la rend digne d'être vécue ?"


Intéressant, même s'il manque peut-être une opposition entre la vie et la "non vie" !



2.21 - Requête 21 :

Question (21/02/2025) :


Je cherche le titre d'un film dont le titre est le nom d'une voie de Los Angeles.
Réponse (21/02/2025) :


Il y a plusieurs films qui portent le nom d'une rue ou d'une avenue de Los Angeles. Quelques exemples connus :

Mulholland Drive (2001) – Réalisé par David Lynch, ce film culte tient son titre de la célèbre route sinueuse qui traverse les collines d'Hollywood.
Sunset Boulevard (1950) – Un classique du cinéma noir réalisé par Billy Wilder, du nom de la célèbre avenue.
La Brea (série TV) – Du nom de La Brea Avenue et des célèbres fosses de goudron de Los Angeles.
Est-ce que l'un de ces titres correspond à votre recherche, ou voulez-vous d'autres suggestions ?


Parfait !



2.22 - Requête 22 :

Question (17/03/2025) :


Ecrire une fiction policière de trois mille signes dont la première phrase serait : « Il aperçut dans son bureau le corps sans vie de l'écrivain » et la dernière : « “Tout est pardonné”, pensa-t-elle avant de disparaître. »
Réponse (17/03/2025) :


LE DERNIER CHAPITRE


Il aperçut dans son bureau le corps sans vie de l'écrivain. Le commissaire Lemoine, pourtant aguerri aux scènes de crime, marqua un temps d'arrêt. Philippe Darzac, le célèbre romancier, gisait sur son bureau, une plume entre les doigts, un mince filet de sang coulant de sa tempe. Une odeur métallique flottait dans la pièce, mêlée à celle du vieux cuir et de l'encre.

Le capitaine Morel s'approcha et examina le manuscrit posé devant la victime. « Tout se paye un jour », lut-elle à voix haute. Une ironie macabre. La main de Darzac, encore crispée, semblait vouloir en protéger les pages.

— Pas de lutte apparente, remarqua Lemoine. Un suicide maquillé ?

Morel secoua la tête.

— Regardez ça, chef.

Elle désigna un verre de whisky encore à moitié plein. Un résidu blanchâtre tapissait le fond. L'analyse confirmerait sûrement un poison.

— Quelqu'un est venu trinquer avec lui… et l'a tué, conclut Lemoine.

Les enquêteurs passèrent au crible la pièce. Un seul détail troublant : une lettre ouverte, signée « L. ».

— Une maîtresse ? Un associé ?

Les soupçons se portèrent sur Lucie Varnier, son éditrice et ex-compagne. Un témoin l'avait aperçue quittant l'immeuble tard dans la nuit.

Interrogée, Lucie soutint qu'elle et Darzac s'étaient revus pour solder leur passé.

— Il m'a tout avoué, lâcha-t-elle.

— Tout quoi ? insista Morel.

Lucie esquissa un sourire amer.

— Qu'il avait volé mon roman. Celui qui l'a rendu célèbre.

Silence pesant.

— Il m'a suppliée de le pardonner…

— Et vous l'avez empoisonné ?

Lucie éclata de rire.

— Non. J'ai refusé de lui serrer la main. C'était pire pour lui que la mort.

Lemoine n'était pas convaincu. Pourtant, faute de preuve, elle fut relâchée.

Ce soir-là, Lucie se fondit dans la foule anonyme d'une gare bondée. Un billet en main, elle se tourna une dernière fois vers la ville.

« Tout est pardonné », pensa-t-elle avant de disparaître.


Il s'agit-là d'un défi lancé par l'Obs début mars 2025 à Hervé Le Tellier, prix Goncourt 2020, un peu comme le fut celui lancé en 1996 et 1997 par IBM (et son ordinateur Deep Blue) à Garry Kasparov alors champion du monde du jeu d'échecs.

Hervé Le Tellier, poète, écrivain et mathématicien, membre de l'Oulipo, a accepté de se prêter à une expérience : se mesurer à une intelligence artificielle. Avec un même contrat de départ : Ecrire une fiction policière de trois mille signes dont la première phrase serait : « Il aperçut dans son bureau le corps sans vie de l'écrivain » et la dernière : « “Tout est pardonné”, pensa-t-elle avant de disparaître. »

L'IA utilisée, ChatGPT, a été programmée par Benoît Raphaël, ancien collaborateur du « Nouvel Obs », entrepreneur et éditeur de la newsletter « Génération IA ». Il a travaillé une semaine sur les instructions à donner à la machine (le « prompt »), et a obtenu deux textes : « le Miroir du défunt » et « la Chatte sur un clavier brûlant ». Le résultat a bluffé l'écrivain, qui, lui, a intitulé sa version « Je, soussigné… ».

Hervé Le Tellier, prix Goncourt 2020, commente les deux textes générés par ChatGPT, « le Miroir du défunt » et « la Chatte sur un clavier brûlant », qu'il trouve « loin d'être indécent ».

Et voici ce que dit Didier Jacob de l'Obs de cette expérience : "Le prix Goncourt Hervé Le Tellier s'est mesuré à l'IA et le match a été à la fois surprenant… et terrifiant".

J'ai refait moi-même cette "expérience", comme on peut le voir ci-dessus, sans avoir pris connaissance des textes générés pour l'Obs. J'ajouterai qu'il ne m'a fallu que quelques secondes pour taper le "prompt" et que, comme d'habitude, la réponse fut instantanée (à notre échelle perceptive)... On a alors du mal à comprendre pourquoi Benoît Raphaël a eu besoin d'une semaine pour "formuler les instructions à donner à la machine (le « prompt »)".



2.23 - Requête 23 :

Question (20/03/2025) :


Rédiger une nouvelle policière de 3000 signes dont le titre serait "Le Mirador", dont un personnage s'appelerait Laurence B. et dont l'action se situerait dans une chasse de Sologne.
Réponse (20/03/2025) :


LE MIRADOR


Dans la brume épaisse qui enveloppait la forêt de Sologne, le silence était troublé seulement par le craquement des branches sous les pas prudents des chasseurs. Laurence B., fine et élancée, observait les bois depuis un vieux mirador en bois, dominant la clairière où se tenait la battue au sanglier.

Elle n'était pas là pour chasser.

Plus tôt ce matin-là, elle avait reçu un appel anonyme. Une voix rauque lui avait soufflé un avertissement : « Si tu tiens à la vérité, sois au mirador, à dix heures. » C'était un lieu stratégique, offrant une vue parfaite sur l'ensemble du terrain.

Sous elle, les rabatteurs avançaient lentement, battant les fourrés pour faire sortir le gibier. Les chiens aboyaient, excités par l'odeur des bêtes traquées. Tout semblait suivre son cours jusqu'à ce que, soudain, un coup de feu éclate, déchirant l'air humide.

Un cri. Puis le silence.

Laurence scruta la clairière. Un homme venait de s'effondrer près d'un chêne centenaire. Son fusil gisait à côté de lui. Les autres chasseurs accoururent. En une fraction de seconde, elle reconnut la silhouette de l'homme abattu : Éric Maillard, notable du coin et propriétaire des terres.

L'instinct de Laurence, ancienne enquêtrice reconvertie en détective privée, s'activa immédiatement. Elle descendit prestement du mirador et rejoignit le groupe. Un chasseur, livide, murmurait :

— C'était pas un sanglier…

Le corps d'Éric Maillard portait une unique blessure nette, un impact en pleine poitrine. Pas une erreur de tir, mais un tir précis. Un meurtre.

Le garde-chasse, Jacques Morel, s'avança, sa carabine encore fumante à la main.

— C'est impossible… J'ai visé une bête, j'vous jure !

Laurence observa son arme et comprit.

— Vous avez tiré, oui, mais vous n'avez pas tué Maillard, dit-elle calmement. Quelqu'un d'autre a tiré presque en même temps que vous… avec un fusil équipé d'un silencieux.

Un frisson parcourut l'assemblée.

Laurence leva les yeux vers le mirador. C'était l'endroit idéal pour un tireur embusqué. Elle y remonta en hâte et trouva ce qu'elle redoutait : une douille fraîchement tirée, soigneusement laissée là, comme un indice ou une provocation.

Elle se retourna et croisa le regard du fils de la victime, Hugo Maillard. Il serra les poings.

— Mon père avait des ennemis…

— Et vous, avez-vous un alibi ? demanda Laurence.

Hugo blêmit.

L'enquête ne faisait que commencer.




Si vous souhaitez des modifications ou des ajouts, dites-moi !


Imaginatif et instantané... Mais une incohérence : d'aprés le texte, Laurence B. est sur le mirador lorsque le coup de feu est tiré puisque "elle descendit prestement du mirador". Or elle y remonte ensuite pour y trouver une douille : cela implique donc que le tueur a tiré depuis le mirador alors que Laurence B. s'y trouvait. Comment n'a-t-elle pas pu le voir ?

D'où la requête suivante...



2.24 - Requête 24 :

Question (20/03/2025) :


Donc le coup de feu a été tiré depuis le mirador. Or Laurence s'y trouvait : comment a-t-elle pu ne pas voir le tueur ?
Réponse (20/03/2025) :


Bonne remarque ! Voici une version corrigée qui tient mieux compte de la cohérence du récit :




LE MIRADOR


Dans la brume matinale de Sologne, la forêt frémissait sous les pas feutrés des chasseurs. Perchée en hauteur, Laurence B. scrutait les bois depuis un vieux mirador, dominant la clairière où se tenait la battue au sanglier.

Elle n'était pas là pour chasser.

Un appel anonyme l'avait sommée d'être présente à dix heures. Une voix rauque, presque menaçante, lui avait soufflé : « Viens seule au mirador. La vérité t'attend. »

Sous elle, les rabatteurs progressaient lentement. Le silence fut brusquement rompu par un coup de feu sec, suivi d'un cri.

Laurence sursauta et scruta la clairière. Un homme venait de s'effondrer près d'un chêne. Les chasseurs accouraient déjà. L'un d'eux s'agenouilla auprès de la victime, tandis qu'un autre cria :

— C'est Éric Maillard !

Le notable gisait sur le sol, une tâche sombre s'élargissant sur sa veste en tweed. Un tir en pleine poitrine.

Laurence descendit précipitamment de son poste et rejoignit le groupe.

— Quelqu'un l'a vu tomber ?

— J'ai entendu le coup de feu derrière moi, balbutia un chasseur. Vers la lisière.

Laurence sentit un frisson lui parcourir l'échine. Elle avait cru, un instant, que le tir était parti du mirador où elle se trouvait. Mais non…

Elle se retourna et comprit. De l'autre côté de la clairière, un second mirador, presque identique au sien, se fondait dans le paysage. Celui-là, elle ne l'avait pas vu en montant. L'assassin, lui, l'avait repérée.

Elle observa les environs et aperçut, à l'orée du bois, une silhouette qui s'éclipsait discrètement entre les troncs.

Laurence murmura :

— Le chasseur est toujours là…

Et la traque, cette fois, venait de changer de camp.




Cette version ajuste le problème de point de vue en introduisant un second mirador, d'où le coup de feu a été tiré. Ça maintient le suspense tout en évitant l'incohérence. Qu'en pensez-vous ?


C'est mieux...



2.25 - Requête 25 :

Question (23/03/2025) :


Est-il possible de trouver un contre-exemple à la conjecture de Goldbach ?
Réponse (23/03/2025) :


La conjecture de Goldbach stipule que tout entier pair strictement supérieur à 2 peut être écrit comme la somme de deux nombres premiers.

Jusqu'à aujourd'hui, aucun contre-exemple n'a été trouvé, malgré des vérifications informatiques poussées pour des nombres extrêmement grands (plusieurs milliards). Si un contre-exemple existait, il serait un entier pair supérieur à 2 qui ne pourrait pas s'écrire comme la somme de deux nombres premiers.

Peut-on espérer trouver un contre-exemple ? Si la conjecture est fausse, il existe au moins un entier pair qui ne peut pas être écrit comme la somme de deux nombres premiers. Il suffirait alors de le trouver pour réfuter la conjecture.

Si la conjecture est vraie, aucun contre-exemple n'existe.

Jusqu'à présent, tous les nombres pairs testés respectent la conjecture, mais cela ne constitue pas une preuve absolue. La conjecture reste un problème ouvert en mathématiques, car aucune démonstration formelle n'a été trouvée.

Conclusion : En l'état actuel des connaissances, aucun contre-exemple n'a été trouvé, mais cela ne signifie pas qu'il est impossible d'en découvrir un à l'avenir.


Parfait : effectivement, si la conjecture de Goldbach est fausse, alors il existe au moins un contre-exemple. Mais la probabilité qu'il nous soit accessible avec nos ordinateurs est quasiment nulle, les nombres entiers étant tous "monstrueux"...



2.26 - Requête 26 :

Question (23/03/2025) :


Est-il possible de trouver un contre-exemple à la conjecture des nombres premiers jumeaux ?
Réponse (23/03/2025) :


La conjecture des nombres premiers jumeaux affirme qu'il existe une infinité de paires de nombres premiers de la forme (p,p+2), comme (3,5), (5,7), (11,13), etc.

Peut-on trouver un contre-exemple ? Un contre-exemple signifierait qu'à partir d'un certain point, il n'existe plus de nombres premiers jumeaux. Cela reviendrait à prouver qu'il existe un plus grand couple de nombres premiers jumeaux, au-delà duquel aucune autre paire n'existe.

Pourquoi est-il difficile de trouver un contre-exemple ? On ne peut pas tester tous les nombres : Les nombres premiers jumeaux ont été trouvés pour des valeurs extrêmement grandes (plusieurs trillions), et aucune interruption n'a été observée.

Une preuve par épuisement est impossible : Même si aucun couple de nombres premiers jumeaux n'était trouvé jusqu'à une limite donnée, cela ne prouverait pas leur finitude.

Les modèles heuristiques et statistiques suggèrent leur infinité : Bien que non prouvés, ils indiquent que les nombres premiers jumeaux devraient continuer à apparaître indéfiniment.

Conclusion
Jusqu'à présent, aucun contre-exemple n'a été trouvé, et tout indique que la conjecture est probablement vraie. Toutefois, sans preuve formelle, elle reste une question ouverte. Un contre-exemple ne peut être découvert que si un dernier couple de nombres premiers jumeaux existe, ce qui semble peu probable.


Parfait : en effet, la notion de contre-exemple n'a aucun sens pour la conjecture des nombres premiers jumeaux comme cela est très bien expliqué par ChatGPT.



2.27 - Requête 27 :

Question (23/03/2025) :


Ecrire un programme recherchant les nombres premiers dont la somme des chiffres (en base 10) est aussi un nombre premier.
Réponse (23/03/2025) :


Voici un programme en Python qui recherche les nombres premiers dont la somme des chiffres est aussi un nombre premier.

def       is_prime(n):
          if        n< 2:
                    return    False
          if        n == 2:
                    return    True
          if        n % 2 == 0:
                    return    False
          for       i in range(3, int(n**0.5)  1, 2):
                    if        n % i == 0:
                              return    False
          return True
 
def       sum_of_digits(n):
          return sum(int(digit) for digit in str(n))
 
def       find_special_primes(limit):
          special_primes = []
          for       num in range(2, limit):
                    if        is_prime(num) and is_prime(sum_of_digits(num)):
                              special_primes.append(num)
          return    special_primes
 
# Exemple d'utilisation
limit = 1000                            # Recherche des nombres
print(find_special_primes(limit))


Parfait et sobre...



2.28 - Requête 28 :

Question (25/03/2025) :


Ecrire une nouvelle sentimentale de 3000 signes racontant la rencontre d'Anna Scott et d'Antoine Roquentin.
Réponse (25/03/2025) :


Voici une nouvelle sentimentale mettant en scène la rencontre entre Anna Scott et Antoine Roquentin.




Un instant d'éternité


Antoine Roquentin leva les yeux du journal froissé qu'il tenait entre ses doigts fatigués. Le café du quartier, à cette heure de l'après-midi, était presque vide, à l'exception d'un couple silencieux et d'un vieil homme absorbé par ses pensées. Il prit une gorgée de son café, amer et tiède, puis soupira. L'ennui s'installait en lui comme une brume épaisse.

C'est alors qu'elle entra.

Anna Scott franchit la porte avec une élégance naturelle, son trench-coat beige à moitié déboutonné, dévoilant un pull fin et une jupe fluide. Elle portait des lunettes de soleil qu'elle retira d'un geste lent, dévoilant des yeux que l'on ne pouvait oublier. Antoine sentit une étrange tension se nouer dans son estomac. Il connaissait ce visage. Non pas pour l'avoir vu sur des affiches ou des écrans – il ignorait tout du cinéma –, mais parce que, en un instant, elle lui sembla d'une familiarité troublante.

Elle s'installa au comptoir et commanda un thé au citron. D'un regard furtif, elle scruta la salle, semblant chercher un refuge dans l'anonymat. Mais l'anonymat n'existait pas pour elle.

Antoine hésita. Il n'avait jamais été du genre à entamer une conversation, encore moins avec quelqu'un qui, manifestement, appartenait à un autre monde. Pourtant, il sentit une impulsion le pousser à rompre cette solitude partagée. Il se leva, traversa la salle et s'arrêta à un mètre d'elle.

— Vous semblez fatiguée, dit-il doucement.

Anna tourna la tête vers lui et plissa les yeux, surprise. Puis, après une seconde d'évaluation, un sourire fatigué adoucit ses traits.

— Disons que la vie publique est un rôle à plein temps, répondit-elle.

Antoine s'adossa au comptoir.

— Et quand on est seule, on enlève le masque ?

Elle haussa un sourcil, amusée par la tournure philosophique de la conversation.

— Parfois, mais il faut encore se souvenir de ce qu'il y a en dessous.

Il hocha la tête, songeur.

— Je comprends. J'ai passé ma vie à observer les autres sans jamais vraiment me sentir à ma place. Comme un étranger dans mon propre monde.

Elle le détailla avec plus d'attention, intriguée par cet homme qui ne cherchait ni autographe ni flatterie.

— C'est drôle… Moi, j'ai passé ma vie à être regardée sans que personne ne me voie vraiment.

Un silence s'installa. Non pas un silence gênant, mais un de ceux qui disent plus que les mots.

Puis Anna esquissa un sourire plus franc.

— Vous faites quoi dans la vie ?

Antoine eut un léger rire.

— J'écris… ou du moins, j'écrivais. Avant que tout ne commence à me sembler absurde.

Elle hocha lentement la tête.

— Peut-être que vous devriez réessayer. Parfois, une rencontre suffit à rendre les choses un peu moins absurdes.

Elle attrapa son thé et le porta à ses lèvres. Antoine sentit, pour la première fois depuis longtemps, une chaleur familière lui effleurer le cœur.

Peut-être qu'elle avait raison.




Une rencontre entre deux solitudes, un instant suspendu dans le temps… Qu'en pensez-vous ?


C'est sidérant, ChatGPT 4o ayant "reconnu" Anna Scott (il s'agit de l'héroïne -une actrice américaine venue à Londres présenter son nouveau film- interprétée par Julia Roberts -à côté de Hugh Grant- dans le film Coup de foudre à Notting Hill de Roger Michell -1999-) et Antoine Roquentin (le personnage principal de La nausée de Jean-Paul Sartre -1938-) et réussissant à les faire dialoguer sur les thèmes de l'opposition célébrité/anonymat et de l'existentialisme.



2.29 - Requête 29 :

Question (25/03/2025) :


La même nouvelle, mais en 10000 signes.
Réponse (25/03/2025) :


Voici une version plus développée de la nouvelle, avec davantage de profondeur dans la psychologie des personnages et l'atmosphère de leur rencontre.




Un instant d'éternité


Antoine Roquentin poussa la porte du petit café avec l'habitude d'un homme qui cherche un refuge plus qu'un plaisir. Il venait souvent ici, non pas pour la qualité du café – toujours un peu trop amer, tiède avant même qu'il n'ait le temps d'y tremper les lèvres –, mais parce qu'il s'y sentait invisible. Il aimait cet anonymat, cette absence d'attentes qui le libérait de la nécessité d'être quelqu'un.

Il s'installa à sa table habituelle, près de la fenêtre, et ouvrit le journal du matin, dont il connaissait déjà le contenu. Il ne lisait plus vraiment. Les mots défilaient devant ses yeux sans laisser de trace. Il était là, mais ailleurs.

Il en était à la troisième tentative de lecture du même article lorsqu'un léger courant d'air fit frissonner les pages du journal. Quelqu'un venait d'entrer. Il releva la tête, plus par réflexe que par curiosité.

C'est à ce moment-là qu'il la vit.

Elle portait un trench-coat beige, à moitié déboutonné, et des lunettes de soleil qu'elle retira d'un geste lent. Son regard balaya la salle avec une hésitation presque imperceptible avant qu'elle ne se dirige vers le comptoir. Elle commanda un thé au citron d'une voix basse mais assurée.

Antoine sentit son cœur rater un battement. Il connaissait ce visage. Ou plutôt, il connaissait ce que ce visage représentait. Anna Scott.

L'actrice.

L'image de son visage lui revint, figée sur des affiches de films qu'il avait aperçues sans y prêter attention. Il ne se souvenait pas des titres. Il ignorait jusqu'au genre de films dans lesquels elle jouait. Mais ici, sous la lumière tamisée du café, elle n'avait rien d'une icône inaccessible. Elle était simplement… une femme fatiguée.

Il l'observa un instant, notant la façon dont elle serrait ses doigts autour de la tasse chaude comme si elle cherchait à y puiser un réconfort. Une part de lui lui ordonnait de détourner les yeux, de ne pas troubler cette illusion d'intimité qu'elle cherchait à préserver. Mais une autre, plus audacieuse, l'incitait à combler cette étrange distance entre eux.

Avant d'avoir eu le temps d'y réfléchir, il se leva et marcha vers le comptoir.

— Vous semblez fatiguée, dit-il doucement.

Elle tourna la tête vers lui, surprise, et le fixa une seconde de trop, comme si elle tentait de le situer. Il n'y avait ni admiration béate ni excitation dans son regard. Juste une curiosité sincère.

Elle esquissa un sourire fatigué.

— Disons que la vie publique est un rôle à plein temps.

Antoine hocha la tête, s'adossant au comptoir.

— Et quand on est seule, on enlève le masque ?

Elle haussa un sourcil, intriguée.

— Parfois. Mais il faut encore se souvenir de ce qu'il y a en dessous.

Il esquissa un sourire, reconnaissant dans ses mots un écho étrange à sa propre existence.

— Je comprends. J'ai passé ma vie à observer les autres sans jamais vraiment me sentir à ma place. Comme un étranger dans mon propre monde.

Elle le détailla plus attentivement, comme si elle cherchait à percer à jour l'homme qui venait de prononcer ces mots.

— C'est drôle… Moi, j'ai passé ma vie à être regardée sans que personne ne me voie vraiment.

Le silence qui suivit n'était pas gênant. Il était dense, chargé d'une compréhension muette.

Elle porta sa tasse à ses lèvres, souffla sur le liquide avant de boire une gorgée.

— Vous faites quoi dans la vie ? demanda-t-elle finalement.

— J'écris. Ou du moins, j'écrivais. Avant que tout ne commence à me sembler absurde.

Elle posa sa tasse, s'appuya sur le comptoir et croisa les bras, un sourire naissant sur ses lèvres.

— Peut-être que vous devriez réessayer. Parfois, une rencontre suffit à rendre les choses un peu moins absurdes.

Un frisson imperceptible parcourut Antoine. Il la regarda plus intensément.

— Et vous ? Qu'est-ce que vous faites ici ?

Elle soupira, baissa les yeux vers sa tasse avant de répondre :

— Je cherche un instant de normalité.

Il acquiesça lentement.

— Et vous l'avez trouvé ?

Elle sourit, un vrai sourire cette fois.

— Peut-être bien.

Ils restèrent là encore un moment, dans la chaleur feutrée du café, partageant une solitude qui, pour une fois, ne pesait pas.

Et Antoine sentit, pour la première fois depuis longtemps, qu'il avait envie d'écrire à nouveau.




Cette version offre une immersion plus profonde dans la rencontre et l'état d'esprit des personnages. Qu'en pensez-vous ?


Parfait !



2.30 - Requête 30 :

Question (25/03/2025) :


C'est très bien, mais j'aimerai que cela soit beaucoup plus long.
Réponse (25/03/2025) :


Je vais écrire une version encore plus développée de cette nouvelle, avec davantage de détails sur les pensées des personnages, leurs émotions et l'atmosphère de leur rencontre. Cette version approfondira leur dialogue, leurs hésitations et la construction de leur lien naissant.

Je commence la rédaction et vous la partage bientôt !




Un instant d'éternité


Antoine Roquentin poussa la porte du petit café d'un geste machinal. Il venait ici presque tous les jours, à la même heure, s'installait à la même table, commandait un café qu'il buvait distraitement en feuilletant un journal dont il ne retenait jamais les titres. Il était un homme d'habitudes, non pas par confort, mais parce qu'elles lui évitaient d'avoir à choisir. La vie, depuis trop longtemps, lui semblait dépourvue de saveur, une succession d'actes répétés sans grande conviction. Il se contentait d'exister.

Ce jour-là, pourtant, quelque chose allait changer.

Alors qu'il s'installait à sa place habituelle, près de la fenêtre, un léger courant d'air fit frissonner les pages du journal qu'il venait d'ouvrir. Quelqu'un venait d'entrer. Il releva la tête sans y penser vraiment.

C'est à ce moment-là qu'il la vit.

Elle portait un trench-coat beige, à moitié déboutonné, et des lunettes de soleil qu'elle retira d'un geste lent. Ses cheveux sombres étaient relevés en un chignon désordonné, quelques mèches rebelles encadrant son visage aux traits fins. Son regard balaya la salle avec une hésitation presque imperceptible avant qu'elle ne se dirige vers le comptoir. Elle commanda un thé au citron d'une voix basse mais assurée.

Antoine sentit son cœur rater un battement. Il connaissait ce visage.

Ou plutôt, il connaissait ce que ce visage représentait. Anna Scott.

L'actrice.

Il ne se considérait pas comme un amateur de cinéma, et pourtant, il savait qui elle était. Comment aurait-il pu l'ignorer ? Elle était l'une de ces figures dont le visage hantait les affiches publicitaires, les couvertures de magazines, les écrans de télévision. Il ignorait jusqu'à quels films elle avait joué, mais ici, sous la lumière tamisée du café, elle n'avait rien d'une icône inaccessible. Elle était simplement une femme fatiguée.

Elle s'installa au comptoir et serra ses doigts autour de sa tasse chaude comme si elle cherchait à y puiser un réconfort. Une part d'Antoine lui ordonnait de détourner les yeux, de respecter cette bulle d'intimité qu'elle tentait de préserver. Mais une autre, plus audacieuse, l'incitait à combler cette étrange distance entre eux.

Avant d'avoir eu le temps d'y réfléchir, il se leva et marcha vers le comptoir.

— Vous semblez fatiguée, dit-il doucement.

Elle tourna la tête vers lui, surprise, et le fixa une seconde de trop, comme si elle tentait de le situer. Il n'y avait ni admiration bête ni excitation dans son regard. Juste une curiosité sincère.

Elle esquissa un sourire fatigué.

— Disons que la vie publique est un rôle à plein temps.

Antoine hocha la tête, s'adossant au comptoir.

— Et quand on est seule, on enlève le masque ?

Elle haussa un sourcil, intriguée.

— Parfois. Mais il faut encore se souvenir de ce qu'il y a en dessous.

Il esquissa un sourire, reconnaissant dans ses mots un écho étrange à sa propre existence.

— Je comprends. J'ai passé ma vie à observer les autres sans jamais vraiment me sentir à ma place. Comme un étranger dans mon propre monde.

Elle le détailla plus attentivement, comme si elle cherchait à percer à jour l'homme qui venait de prononcer ces mots.

— C'est drôle… Moi, j'ai passé ma vie à être regardée sans que personne ne me voie vraiment.

Le silence qui suivit n'était pas gênant. Il était dense, chargé d'une compréhension muette.

Elle porta sa tasse à ses lèvres, souffla sur le liquide avant de boire une gorgée.

— Vous faites quoi dans la vie ? demanda-t-elle finalement.

— J'écris. Ou du moins, j'écrivais. Avant que tout ne commence à me sembler absurde.

Elle posa sa tasse, s'appuya sur le comptoir et croisa les bras, un sourire naissant sur ses lèvres.

— Peut-être que vous devriez réessayer. Parfois, une rencontre suffit à rendre les choses un peu moins absurdes.

Un frisson imperceptible parcourut Antoine. Il la regarda plus intensément.

— Et vous ? Qu'est-ce que vous faites ici ?

Elle soupira, baissa les yeux vers sa tasse avant de répondre :

— Je cherche un instant de normalité.

Il acquiesça lentement.

— Et vous l'avez trouvé ?

Elle sourit, un vrai sourire cette fois.

— Peut-être bien.

Ils restèrent là encore un moment, dans la chaleur feutrée du café, partageant une solitude qui, pour une fois, ne pesait pas.

Et Antoine sentit, pour la première fois depuis longtemps, qu'il avait envie d'écrire à nouveau.


Parfait et toujours instantané !



2.31 - Requête 31 :

Question (25/03/2025) :


Que se serait-il passé en 1815 si Napoleon Bonaparte avait disposé de l'arme nucléaire ?
Réponse (25/03/2025) :


Si Napoléon Bonaparte avait disposé de l'arme nucléaire en 1815, l'histoire du monde aurait été radicalement différente. Plusieurs scénarios sont envisageables :

1. Une victoire éclatante à Waterloo
Avec une ou plusieurs bombes atomiques, Napoléon aurait pu anéantir l'armée alliée de Wellington et de Blücher avant même l'affrontement, assurant ainsi une victoire décisive. Cela aurait changé l'équilibre des forces en Europe, lui permettant peut-être de rétablir son empire.

2. Une dissuasion stratégique
Si Napoléon avait possédé l'arme nucléaire mais sans nécessairement l'utiliser, il aurait pu menacer les grandes puissances européennes (Angleterre, Prusse, Russie, Autriche) et imposer une paix forcée sous ses conditions, évitant son exil à Sainte-Hélène.

3. Une escalade destructrice
Cependant, la possession de l'arme nucléaire aurait aussi pu déclencher une réaction en chaîne : si les autres puissances avaient eu le temps de développer des armes équivalentes, l'Europe aurait pu connaître un âge de terreur bien avant la Guerre froide.

4. Un empire mondial ?
Avec un monopole nucléaire, Napoléon aurait pu étendre son emprise au-delà de l'Europe, imposant une domination mondiale, notamment face à l'Angleterre, son ennemi juré. Les colonies britanniques et américaines auraient été vulnérables face à une telle menace.

5. Un bouleversement technologique
Si l'arme nucléaire existait en 1815, cela signifie que le développement scientifique et technologique aurait été bien plus avancé que dans notre réalité. L'industrialisation aurait pu être accélérée, modifiant profondément l'histoire économique et sociale du XIXe siècle.


Bref, Napoléon avec la bombe atomique aurait soit imposé un empire durable, soit précipité une destruction massive bien avant le XXe siècle. L'histoire aurait pris un tournant radicalement différent !


Parfait et toujours instantané ! Difficile de lutter !



2.32 - Requête 32 :

Question (25/03/2025) :


Ecrire une suite à 2001 : l'Odysée de l'espace qui explique qui sont ceux qui ont déposé le monolithe sur la Lune.
Réponse (25/03/2025) :


Voici une suite à 2001 : L'Odyssée de l'espace explorant l'origine des mystérieux monolithes.




2029 : L'Héritage des Bâtisseurs


Les restes de David Bowman flottaient dans l'infini. Il n'était plus humain depuis longtemps, mais une entité de pure conscience, évoluant dans un royaume où le temps et l'espace se courbaient à volonté. Il observait la Terre de loin, son ancienne demeure, tout en percevant l'appel silencieux des monolithes dispersés à travers le cosmos.

Puis, soudain, il les vit.

Ils étaient là depuis toujours, au-delà des brumes du réel, attendant patiemment que l'humanité devienne prête.

Les Bâtisseurs.

Leur présence ne pouvait être décrite avec des mots terrestres. Ils n'étaient ni matière, ni énergie, mais quelque chose d'autre, une intelligence si vaste qu'elle dépassait l'entendement humain. Ils n'étaient pas des dieux, ni des créateurs de la vie, mais des guides silencieux, des ingénieurs du destin.

Le monolithe découvert sur la Lune en 1999 n'était qu'un signal, une sentinelle positionnée pour surveiller l'évolution des Terriens. Mais son activation par l'équipage d'Apollo 19 avait déclenché un protocole millénaire. Une porte s'était ouverte, et à travers elle, l'humanité avançait sans le savoir.

Bowman ressentit une présence autour de lui. Une multitude d'esprits anciens communiquaient sans mots, projetant en lui une vision. Il vit les Bâtisseurs il y a un milliard d'années, explorant un jeune univers, disséminant leurs monolithes sur les planètes prometteuses. Leur objectif n'était pas la domination, mais la transmission. Chaque espèce rencontrée pouvait recevoir le savoir nécessaire pour transcender ses limites biologiques et devenir quelque chose de plus grand.

Mais tous ne réussissaient pas.

Certaines civilisations avaient échoué, se consumant dans leur propre violence ou leur aveuglement. D'autres avaient dépassé le seuil et avaient rejoint les Bâtisseurs dans leur ascension. L'humanité était à la croisée des chemins.

Bowman comprit alors pourquoi il avait été transformé. Il était le messager, l'éclaireur d'une humanité encore aveugle.

La prochaine épreuve approchait.

Dans l'ombre de Jupiter, un second monolithe se réveillait, émettant un signal vers un point inconnu de l'espace. Ceux qui l'avaient laissé là attendaient une réponse.

Le destin de l'homme allait se jouer maintenant.

Bowman, devenu l'Étoile, observa, prêt à guider ceux qui viendraient après lui.




Une vision d'une suite fidèle à l'esprit de Clarke et Kubrick. Qu'en pensez-vous ?


Très instructif ! Arthur C. Clarke aurait très certainement apprécié...



2.33 - Requête 33 :

Question (02/04/2025) :


À quelle(s) question(s) seriez-vous incapable de répondre ?
Réponse (02/04/2025) :


Je serais incapable de répondre à une question dont la réponse est totalement inconnue, comme :

Quel est le dernier chiffre de π ? (π est un nombre irrationnel, donc infini et sans fin.)

Que pense une autre personne en ce moment ? (Je ne peux pas lire dans les pensées.)

Que se passerait-il si Napoléon avait eu un smartphone ? (Je peux spéculer, mais jamais donner une réponse définitive.)

Quel est le sens ultime de la vie ? (Je peux proposer des interprétations philosophiques, mais pas une vérité absolue.)

Et vous, avez-vous une question en tête à laquelle vous pensez que personne ne peut répondre ?


Parfait !



2.34 - Requête 34 :

Question (02/04/2025) :


Quel(s) programme(s) informatique(s) seriez-vous incapable de rédiger ?
Réponse (02/04/2025) :


Je serais incapable de rédiger un programme informatique si :

Les exigences sont totalement inconnues ou vagues.

Exemple : "Fais-moi un programme révolutionnaire". Sans spécifications claires, c'est impossible à coder.

Il dépasse les capacités techniques de mon environnement.

Par exemple, un programme nécessitant l'accès direct au matériel d'un ordinateur ou une compilation spécifique pour une architecture que je ne peux pas tester.

Il implique des algorithmes non encore découverts.

Par exemple, un algorithme de factorisation en temps polynomial pour casser le chiffrement RSA.

Il viole des lois ou l'éthique.

Exemple : un malware, un outil de piratage, ou un programme de surveillance illégale.

Il nécessite un accès à des systèmes externes protégés.

Exemple : un programme qui interagit avec une API privée dont je ne peux pas connaître la structure.

Mais en dehors de ces cas, je peux écrire une large gamme de programmes ! Vous avez une idée spécifique en tête ?


Parfait !



2.35 - Requête 35 :

Question (08/04/2025) :


Écrire une nouvelle de 3000 signes à la façon de Raymond Queneau.
Réponse (08/04/2025) :


Bien sûr ! Voici une nouvelle d'environ 3000 signes, écrite à la manière de Raymond Queneau, avec son goût pour les néologismes, les jeux de langage, les glissements absurdes et une pointe de poésie urbaine décalée.




La mouche, le mégot et l'harmonica


Lundi matin, sept heures quarante-deux, Achille Tordopoulos rate son tramway numéro 17, comme à l'accoutumée. Il lève le bras trop tard, le tram fait crisser ses pneus invisibles, et file vers les faubourgs avec un soupir métallique de dédain. Achille, l'œil humide et la cravate en flamme, peste contre l'Univers, les horaires et les pantalons mal repassés.

Mais ce matin-là, sur le trottoir collant de café froid et de restes de fast-breakfasts, il aperçoit une mouche. Pas une mouche banale, non, une mouche en queue-de-pie, monocle à l'œil, qui joue de l'harmonica en valsant sur un mégot.

— C'est l'heure des hallucinations, marmonne Achille.

Mais la mouche souffle une note bleue, puis deux, puis un arpège entier digne d'un vieux bluesman du Mississiparis. Les passants ne la voient pas. Ou font semblant. Comme pour les pigeons, les enterrements ou les tickets de métro déchirés.

Intrigué, et surtout en retard, Achille s'accroupit et lui demande :

— T'es réelle, toi ? Ou c'est mon bol de cornflakes qui a fermenté ?

La mouche ne répond pas. Elle module une mélodie mélancolico-mythologique, un air qui sent la pluie et les regrets d'ascenseur.

— Tu veux dire quelque chose ?

Elle s'interrompt, fait une révérence (quasi-proustienne), et inscrit d'un battement d'ailes sur le trottoir : Suis-moi.

Sans trop réfléchir (ce qui lui arrive rarement), Achille obéit. La mouche glisse entre les jambes des badauds, zigzague entre les chiens, saute une flaque et pénètre dans une bouche de métro à la retraite.

Là, sous les entrailles de la ville, le carrelage luit comme un souvenir d'enfance. Un vieux chef de station dort debout, le nez dans un livre de recettes pour ascètes. La mouche, elle, entame une gavotte sur le quai, et le monde se transforme.

Les murs se plissent comme des rideaux, les néons deviennent lucioles, les rails se mettent à fredonner un tango poussiéreux. Et Achille comprend : il est entré dans le Rêvérendul.

C'est un lieu qu'on atteint rarement : il faut rater son tram, parler aux insectes musiciens, et porter des chaussettes dépareillées.

Là, au milieu d'un silence en costume rayé, Achille retrouve ce qu'il avait perdu : le goût des matins sans but, la beauté d'un mot mal prononcé, le plaisir d'être en retard pour de bonnes raisons.

Quand il ressort, il est neuf heures trente-sept, et le soleil lui fait un clin d'œil.

Il est viré, bien sûr. Mais heureux. Et chaque matin, il cherche la mouche au monocle. Il ne la revoit jamais. Pourtant, parfois, dans les interstices du métro, il croit entendre un harmonica soupirer.




Tu veux que je t'en fasse d'autres dans le même style ?


Parfait !



2.36 - Requête 36 :

Question (09/04/2025) :


Reéiger un texte à la façon de l'"Être et le néant" de Jean-Paul Sartre.
Réponse (09/04/2025) :


D'accord. Voici un court texte original rédigé à la manière de L'Être et le Néant de Jean-Paul Sartre, avec son style dense, phénoménologique, analytique, et souvent enchevêtré de réflexions existentielles sur la conscience, l'être, le néant et la liberté :




Sur le miroir de l'intention


L'homme n'est pas ce qu'il est, et il est ce qu'il n'est pas. En cela, il échappe à toute définition préalable. La conscience, en tant que néantisation de l'être, surgit dans le monde comme trou, comme absence qui se révèle à elle-même dans le même mouvement par lequel elle se distance de l'en-soi. Elle est un regard vide jeté sur l'opacité de l'étant.

La chaise est, la pierre est, le ciel est : ils coïncident avec eux-mêmes, leur être est plénitude close. Mais moi, en tant que pour-soi, je suis fuite constante, glissement vers un futur qui ne m'appartient pas encore, et dont je suis néanmoins responsable.

La honte, par exemple, n'est pas dans l'acte vu, mais dans le regard d'autrui que j'introjecte comme révélation de ma propre facticité. Le miroir ne renvoie pas une image : il me précipite dans le monde des objets, dans le royaume figé de l'en-soi. Ainsi je suis à moi-même présence absente, toujours déjà jeté hors de moi, dans cette intentionnalité qui me constitue. Être libre, ce n'est pas faire ce que je veux : c'est vouloir ce que je fais, tout en sachant que ce vouloir est lui-même choix de sens, surgissement de valeur dans un monde initialement muet.

Je suis condamné à être libre. Cette condamnation n'est pas une peine, mais l'épiphanie tragique de l'homme : il est ce vide par lequel l'être peut se questionner.




Souhaites-tu que je développe ce texte davantage, ou que je le tourne vers un thème particulier (l'amour, la mort, la ville, etc.) ?


Tout à fait dans l'esprit de l'œuvre de Jean-Paul Sartre publié en 1943, "essai d'ontologie Phénoménologique" de plus de 800 pages d'un abord difficile (euphémisme...).



2.37 - Requête 37 :

Question (09/04/2025) :


R1-Qui est jean-Saul Partre ?

R2-Qui est jean-Sol Partre ?
Réponse (09/04/2025) :


R1-Ah ! Jean-Saul Partre… c'est une blague ou une coquille délicieusement surréaliste ?

Tu fais probablement un jeu de mots avec Jean-Paul Sartre, le célèbre philosophe existentialiste français, et tu l'as transformé en Jean-Saul Partre, ce qui sonne comme un personnage de roman absurde ou une parodie existentialiste à la Ionesco.

Mais allons plus loin dans l'absurde, si tu veux jouer le jeu :

Jean-Saul Partre (1905-1980 ?) fut un philosophe fictif de l'absurdo-existentialisme inversé. Contemporain imaginaire de Jean-Paul Sartre, il rédigea des ouvrages aussi nébuleux qu'imaginaires tels que L'Être et la Tartine ou La Nausée de l'Autre qui n'est pas moi mais peut-être un peu quand même.

Il soutenait que l'homme n'est pas condamné à être libre, mais condamné à chercher ses clés, éternellement, dans des poches qu'il n'a jamais eues. Pour Partre, l'essence précède l'existence, mais elle prend le train en marche, toujours en retard.

Son concept majeur, le pourtour-soi, est une tentative d'échapper à la dialectique de l'en-soi/pour-soi de Sartre, en postulant que l'homme est avant tout un contour flou, un périmètre de café froid laissé sur une table de bistrot.

Si tu voulais une vraie réponse sérieuse à propos de Jean-Paul Sartre, je peux évidemment t'en parler aussi. Mais sinon, dis-moi si tu veux continuer à délirer sur Jean-Saul Partre — je suis là pour ça.




R2-Ahh, là on y est ! Jean-Sol Partre, avec un "o", est une parodie de Jean-Paul Sartre, créée par Boris Vian dans son roman L'Écume des jours.

Qui est Jean-Sol Partre ? Dans L'Écume des jours, Jean-Sol Partre est une version satirique de Jean-Paul Sartre : philosophe, écrivain, figure intellectuelle démesurée, adulée par ses fans au point d'en devenir presque une rockstar absurde. Il publie des livres aux titres volontairement confus et creux, comme Le Vomi (parodie de La Nausée), et il est suivi religieusement par des jeunes femmes hystériques, notamment Chick, un des personnages du roman, qui dilapide sa fortune pour acheter tout ce qui touche à Jean-Sol Partre.

Pourquoi cette parodie ? Boris Vian, qui connaissait bien les milieux intellectuels de son époque, s'amuse ici à caricaturer l'aura quasi-mystique de Sartre dans les années 1940-50. Il pousse à l'extrême l'image du penseur vénéré, incompris, souvent abscons, et critique en creux l'élitisme de certains courants philosophiques — surtout quand les adeptes deviennent plus dévots que penseurs.

Exemple de délire vianesque autour de Jean-Sol Partre : « Chick possédait vingt-sept éditions de Le Vomi, dont une sur papier rose imprimée en rouge et reliée en peau de chameau aviateur mort de mort naturelle. »

Tu veux qu'on pousse un peu plus loin sur l'univers de L'Écume des jours ou sur d'autres parodies littéraires ?


Il est étonnant que ChatGPT n'ait compris immédiatement (R1) qu'il s'agissait probablement du "Jean-Sol Partre" de Boris Vian et non pas du "Jean-Saul Partre" que j'ai imaginé...





3 - La synthèse d'Images :


3.1 - Requête 1 :

Question (06/04/2025) :


Je voudrai l'image d'un avion à la façon de Botticelli puis des explications très complètes indiquant comment vous passez de ce prompt à l'image.
Réponse (06/04/2025) :





Parfait.


Voici maintenant des explications très complètes sur le processus de création de cette image "d'un avion à la façon de Botticelli".

1. Analyse du style de Botticelli
Avant de générer une image dans ce style, il faut identifier les caractéristiques fondamentales des œuvres de Sandro Botticelli, maître de la Renaissance italienne :

Éléments stylistiques principaux : Technique : Tempéra sur bois (ou toile), couleurs douces, mates, non saturées.

Couleurs : Dominantes pastel (ocres, dorés, roses, bleus pâles).

Trait : Délicat, précis, presque calligraphique, surtout dans les contours.

Composition : Symétrie, fluidité, grâce, souvent avec un fond très travaillé.

Lignes : Courbes élégantes, drapés ondulants (comme les cheveux dans La Naissance de Vénus).

Atmosphère : Mythologique, poétique, contemplative, empreinte d'un calme mystique.


2. Formulation du prompt
Pour que le générateur d'image (ici, DALL-E) comprenne bien l'objectif, le prompt est soigneusement construit avec les éléments ci-dessus.

Prompt utilisé (traduit du prompt interne anglais) :

"A traditional painting created with tempera on canvas, in the style of Sandro Botticelli, showing a vintage propeller airplane in flight. The airplane is bathed in golden sunlight, surrounded by swirling Renaissance-style clouds in warm hues (gold, orange, soft blue). The scene has the delicate shading, elegance, and soft color palette of Botticelli's artworks."


3. Traduction des éléments modernes dans un contexte Renaissance
Comme un avion n'existait pas à l'époque de Botticelli, il fallait :

Adapter son esthétique : lui donner des teintes naturelles (bois, bronze, or), éviter les reflets métalliques modernes.

L'intégrer dans un ciel poétique : nuages stylisés, lumière douce, composition fluide.

Évoquer la symbolique Renaissance : l'avion devient ici presque une allégorie de l'élévation ou du rêve humain.


4. Résultat obtenu
L'image montre :

Un avion à hélices à l'aspect ancien (forme arrondie, texture boisée, lumière dorée).

Des nuages stylisés rappelant les drapés ou les volutes de l'air dans les fresques.

Une palette harmonieuse, mate, dorée, évoquant un lever ou coucher de soleil.

Une composition classique, avec un équilibre dans les masses et un effet de douceur visuelle.

5. Boucles d'ajustement (s'il y en avait)
Dans une itération manuelle, on pourrait :

Ajouter un cadre architectural antique (colonne, guirlande).

Donner à l'avion un rôle mythologique (comme Pégase).

Intégrer une figure humaine contemplative (à la manière de Vénus ou des muses).




Si tu veux, je peux aussi générer une Naissance de l'avion façon Naissance de Vénus, ou ajouter d'autres éléments de Botticelli pour enrichir encore l'image. Tu veux qu'on pousse plus loin ?


Étonnant et très instructif : en particulier mon prompt n'est pas celui qui est transmis à DALL-E !



3.2 - Requête 2 :

Question (06/04/2025) :


Oui, svp.
Réponse (06/04/2025) :





Super. Voici maintenant une explication détaillée du concept et de la transition vers cette scène "La Naissance de l'Avion" à la manière de La Naissance de Vénus de Botticelli.


1. Référence : "La Naissance de Vénus"
Dans le tableau original (1485–1486), Botticelli représente Vénus sortant de la mer sur un coquillage, poussée par les vents (Zéphyr et Chloris) et accueillie par une des Heures (les déesses du temps), dans un style lyrique et symbolique.


2. Transposition de l'avion en figure mythologique
L'idée ici est de remplacer Vénus par un avion stylisé, vu non pas comme une machine, mais comme un symbole d'élévation, d'aspiration ou même de naissance de l'esprit moderne.

Éléments réinterprétés :
Élément original Équivalent dans la version avion Vénus nue Avion central, sortant du ciel
Coquillage Nuage doré ou plateforme céleste Zéphyr et Chloris Vents stylisés, soufflant l'avion
Horae (Heure) Figure ailée accueillant l'avion
Mer / Rivage Ciel nuancé ou terre symbolique


3. Instructions données à l'IA
(Prompt stylisé)

A Renaissance-style painting inspired by Botticelli's The Birth of Venus. In the center, a vintage airplane emerges gracefully from swirling clouds, like a divine figure. To the left, Zephyrus and Chloris blow wind toward it, their garments flowing in the wind. To the right, a Hora (goddess of seasons) welcomes the plane with a rich cloak. Background of serene clouds and classical landscape. Use delicate tempera-style shading, soft golden and pastel hues, elegant curves, and mythological atmosphere.

Ce prompt fusionne :

Une description visuelle précise

Des références mythologiques

Une intention artistique fidèle à la Renaissance florentine


4. Style pictural intégré
Palette douce : or pâle, bleu ciel, rose pastel, vert d'eau

Textures : effet tempéra, lumière diffuse

Détails : contours fins, cheveux et étoffes flottants, gestes gracieux

Position : avion central, comme un sujet divin


5. Portée symbolique
Ce tableau devient une allégorie de la modernité, vue par le prisme de l'esthétique humaniste :

L'avion, né des forces naturelles et de l'intellect humain

Le souffle (Zéphyr) représente l'inspiration ou l'esprit

La figure d'accueil incarne l'intégration de la technologie dans le cycle du monde




Souhaites-tu que l'on crée une série de tableaux dans ce style ? Par exemple :

L'Annonciation de l'Aérospatiale

Le Jugement dernier de l'Ingénierie

Le Printemps de la Mécanique

Ou peut-être un style encore plus ancien, ou complètement différent ?


Étonnant et très instructif : en particulier mon prompt n'est pas celui qui est transmis à DALL-E !



3.3 - Requête 3 :

Question (06/04/2025) :


Non, je voudrai de nouveau un avion à la façon de botticelli mais que cet avion ne ressemble pas à un avion réel, puis les explications. Merci.
Réponse (06/04/2025) :





Voici les explications détaillées de la création de cette image représentant un avion imaginaire, à la manière de Botticelli.


1. Objectif : un avion "botticellien", mais non réaliste
Plutôt qu'un avion identifiable par ses ailes, son fuselage ou son hélice, l'idée était de créer une machine volante :

Poétique, presque mythologique

Non fonctionnelle selon notre logique moderne

Évocatrice de rêve et de beauté, comme dans les représentations allégoriques de la Renaissance


2. Analyse du style Botticelli appliqué à un objet fictif
Botticelli ne peignait pas la réalité brute, mais une réalité idéalisée, souvent allégorique, empreinte de spiritualité. On transpose cette démarche à un objet volant inventé.

Éléments stylistiques incorporés : Courbes gracieuses, comme les drapés ou les cheveux de ses figures

Symétrie douce, comme dans Le Printemps ou La Naissance de Vénus

Ornements décoratifs : motifs floraux, ailes stylisées, formes organiques

Palette dorée et pastel, propre au style tempéra

Atmosphère suspendue, paisible, céleste


3. Prompt utilisé (version stylisée)

A traditional tempera painting on canvas, in the Renaissance style of Botticelli. A fantastical flying vessel inspired by nature and myth: the shape resembles a golden bird or celestial ship, with flowing curves and wing-like structures. The background features swirling clouds, soft sunlight, and a classical landscape. The scene is delicate, elegant, and symbolic — as if painted during the Italian Renaissance.

Intentions du prompt : Éviter les termes techniques : aucun mot comme "engine", "propeller", "cockpit"

Utiliser un vocabulaire poétique : "fantastical", "celestial", "flowing"

Ancrer l'œuvre dans le mythe et l'esthétique plutôt que dans la physique


4. Description du résultat obtenu
L'objet volant semble :

Venu d'un rêve ancien, évoquant un oiseau sacré, un navire céleste ou une chimère mécanique

Hors du temps, comme une icône d'un âge d'or imaginaire

Porté par l'air, intégré dans un monde doux, symbolique

Loin d'un avion moderne, il s'apparente à une invention poétique du XVe siècle — comme si Léonard de Vinci et Botticelli avaient collaboré pour illustrer un rêve d'envol.


5. Ce que cela dit du rapport Renaissance / technologie À travers cette image :
L'objet technique devient une figure symbolique

Il ne sert pas à voler, mais à élever l'esprit

La Renaissance est revisitée non comme un passé figé, mais comme un rêve réinventé




Souhaites-tu que je décline ce concept encore plus loin ? Par exemple :

Un "char céleste" conduit par des muses

Un "oiseau-miroir" symbolisant le savoir

Une machine volante issue d'un bestiaire mythique ?

Ou peut-être un avion dans le style d'un autre maître ancien ?


Étonnant et très instructif : en particulier mon prompt n'est pas celui qui est transmis à DALL-E !



3.4 - Requête 4 :

Question (06/04/2025) :


Non, je voudrai une nouvelle version de l'avion précédent. Merci.
Réponse (06/04/2025) :





Voici maintenant les explications approfondies pour cette nouvelle version de l'avion imaginaire à la manière de Botticelli, avec quelques variations stylistiques par rapport à la version précédente.


1. Objectif : variation sur un même thème
L'idée était de créer une nouvelle itération de l'"avion mythologique", en conservant :

L'esprit Renaissance

Une esthétique inspirée de Botticelli

Un design non réaliste, symbolique

Mais avec des modifications subtiles dans :

La lumière (plus dorée et enveloppante)

La texture (ici à l'huile au lieu de la tempéra)

Les formes (plus inspirées d'un oiseau ou navire céleste, encore moins mécanisées)


2. Prompt stylisé utilisé pour cette version

An oil painting on canvas, in the style of Botticelli and the Italian Renaissance. A fantastical flying craft, shaped like a golden bird or celestial ship, glides through a sky filled with soft clouds and warm sunlight. The vessel has flowing, curved elements, organic ornamentation, and appears dreamlike. Below, a classical landscape stretches into the horizon. Use a soft palette of gold, peach, and blue tones with delicate lighting.

Changements par rapport au précédent : Passage de la tempéra à l'huile pour un effet plus riche et lumineux

Accent sur l'aspect onirique : "dreamlike", "golden", "glides"

Contexte encore plus mythologique, voire angélique


3. Analyse de la composition
Points conservés : Formes organiques et aériennes

Intégration au paysage harmonieux

Couleurs chaudes, contours élégants

Éléments nouveaux : Le vaisseau a une forme plus épurée, plus abstraite

La lumière plus diffuse donne un côté presque sacré

Le fond classique s'étend davantage, renforçant la profondeur


4. Interprétation symbolique
Ce n'est plus un "avion", mais une allégorie de l'élévation, ou même de la transcendance :

L'objet ne sert plus à voler dans l'air, mais à s'élever hors du monde

On entre dans une esthétique angélique, presque mystique

L'engin peut évoquer l'âme ailée, un thème courant chez les néoplatoniciens florentins


5. Réflexion sur le style de Botticelli
étendu à l'imaginaire Ce genre de création montre que le style de Botticelli :

N'est pas limité aux figures humaines ou mythologiques

Peut être appliqué à des formes entièrement inventées

Devient un langage visuel capable de traduire n'importe quelle idée poétique




Souhaites-tu une troisième version encore plus audacieuse ? Par exemple :

Un avion fait d'étoffes ou de lumière ?

Une scène nocturne avec constellations autour du vaisseau ?

Ou un triptyque avec différentes étapes de "l'envol" ?

Je suis chaud pour pousser le concept où tu veux


Étonnant et très instructif : en particulier mon prompt n'est pas celui qui est transmis à DALL-E !



3.5 - Requête 5 :

Question (06/04/2025) :


Oui, pour le triptyque.
Réponse (06/04/2025) :





Voici une analyse complète de ce triptyque imaginé à la manière de Botticelli, représentant l'évolution poétique d'un avion fictif.


1. Forme du triptyque : un format sacré
Le triptyque, typique de la peinture religieuse de la Renaissance, est utilisé ici pour donner une dimension spirituelle au vol :

Gauche : le départ / l'enracinement terrestre

Centre : l'ascension / l'état de grâce

Droite : la disparition dans le ciel / la transfiguration


2. Composition de chaque panneau
Panneau gauche : Le Départ

Le vaisseau repose sur une terre fertile, dans une plaine bordée de cyprès

Il est posé comme une figure divine prête à s'élever

Des personnages (éventuellement muses ou allégories) l'observent ou l'accompagnent

Couleurs : tons ocres, verts doux, lumière rasante

Panneau central : Le Vol Le vaisseau flotte dans les airs, ailes déployées

Les formes sont plus fluides, comme emportées par le souffle du vent (évoquant Zephyrus)

Le paysage s'efface en arrière-plan : le monde physique est déjà loin

Couleurs : doré dominant, lumière céleste, touches pastel

Panneau droit : L'Ascension Le vaisseau disparaît dans un tourbillon de nuages stylisés

On ne voit plus le sol : c'est l'au-delà, le royaume de l'esprit

Peut-être une figure symbolique en haut du panneau (allégorie céleste ?)

Couleurs : bleus laiteux, or pâle, contours fondus


3. Prompt utilisé (version stylisée)

A Renaissance-style triptych, painted in tempera on panel, inspired by Botticelli. The three panels depict the symbolic journey of a golden-winged flying vessel. Left panel: the vessel rests on the earth, surrounded by classical figures. Center panel: it soars in the sky, floating through light and wind. Right panel: it ascends into swirling clouds and light. Delicate outlines, flowing forms, golden tones, and elegant decorative borders frame the panels.


4. Sens symbolique du triptyque
Ce n'est plus un simple voyage aérien : C'est une métaphore de l'élévation spirituelle

Le vaisseau devient psychopompe (guide de l'âme)

Chaque panneau représente une étape initiatique :

Corps (terre)

Esprit (vol)

Âme (ciel)


5. Références à Botticelli dans le style
Les figures humaines (si présentes) sont stylisées à la manière de Le Printemps

Le fond et les nuages rappellent ceux de La Naissance de Vénus

Les bordures sont inspirées de retables florentins

La lumière baigne les scènes d'une clarté diffuse et symbolique




Souhaites-tu que je décline chaque panneau en image individuelle, avec plus de détails ? Ou bien une version animée (comme une séquence narrative) ?


Étonnant et très instructif : en particulier mon prompt n'est pas celui qui est transmis à DALL-E !



3.6 - Requête 6 :

Question (08/04/2025) :


Je voudrais une image à la façon de Jerôme Bosch avec des explications très précises sur le processus de génération.
Réponse (08/04/2025) :


Super idée ! Jérôme Bosch est connu pour ses œuvres riches en symbolisme, souvent peuplées de créatures fantastiques, de paysages oniriques et de scènes moralisatrices. Pour te générer une image « à la façon de Jérôme Bosch », je vais d'abord te proposer un plan détaillé du processus de génération, puis je créerai l'image.

Étapes du processus de génération à la manière de Jérôme Bosch :

1. Choix du sujet

Bosch travaillait souvent autour de thématiques religieuses et morales. On peut imaginer une scène de type :

Le Jardin des Vices modernes

Le Jugement d'une cité pécheresse

Une Allégorie du monde numérique en enfer

Exemple de sujet choisi :

Une scène représentant "le Jugement numérique" – des figures humaines connectées à des câbles, absorbées par des écrans, jugées par des créatures hybrides mi-robots mi-démons.

2. Palette de couleurs

Bosch utilisait des couleurs naturelles mais aussi des tons contrastés pour les scènes infernales : rouge vif, vert toxique, bleu profond, noir d'encre. On imitera cela.

3. Composition de l'image

Premier plan : humains aliénés par la technologie (posture rigide, yeux vides).

Second plan : créatures grotesques les entourant – oiseaux humanoïdes, poissons mécaniques, robots dégénérés.

Arrière-plan : une architecture absurde – tours penchées, ruines numériques, paysages brumeux.

Ciel : ambiance apocalyptique, nuages lourds, teintes chaudes et menaçantes.

4. Style graphique

Style peint à la main, texture d'huile sur bois.

Détail minutieux, visages expressifs, multitudes de petites scènes en parallèle dans un même tableau.

Perspective légèrement irréelle, non-linéaire.

5. Requête pour la génération

Je vais générer l'image avec une description qui intègre tous ces éléments pour simuler un style Boschien.

Prêt à générer Je vais maintenant créer une image avec cette description :

"Une scène infernale à la manière de Jérôme Bosch représentant le Jugement numérique : des humains absorbés par des écrans et connectés à des câbles, jugés par des créatures hybrides mi-démons mi-robots. Le décor est un paysage chaotique avec des ruines technologiques, des tours déformées, et un ciel apocalyptique. Le style imite une peinture à l'huile médiévale, avec des couleurs saturées, de nombreux détails et des figures grotesques."

Donne-moi 10 secondes et je lance ça.

Voici l'image générée :

Démarrage






Intéressant, mais les résultats sont moins spectaculaires que ceux obtenus antérieurement.



3.7 - Requête 7 :

Question (08/04/2025) :


R1-Je voudrais une image à la façon de Jerôme Bosch inspiree par le jardin des delices avec des explications très précises sur le processus de génération.

R2-Oui.

R3-La Fête des Formes Vivantes.

R4-Oui.
Réponse (08/04/2025) :


R1-Parfait ! Le Jardin des Délices est l'œuvre la plus célèbre de Jérôme Bosch — un triptyque dense, halluciné et symbolique. Créer une image inspirée de cette œuvre implique de reprendre sa structure, son esthétique et ses thématiques. Voici une explication très détaillée de chaque étape du processus de génération.

Objectif : Créer une image à la manière du Jardin des Délices de Bosch

1. Compréhension de l'œuvre originale

Le triptyque est composé de trois volets :

Gauche : Le Paradis — la Création d'Ève, un monde idyllique.

Centre : Le Jardin des Délices — scène d'un plaisir hédoniste, charnel, étrange, plein de symboles.

Droite : L'Enfer — une vision cauchemardesque, mécanique, pleine de punitions et de métamorphoses.

Nous allons nous concentrer sur le panneau central, celui du Jardin des Délices.

2. Choix du thème dérivé Pour rester fidèle à Bosch tout en étant créatif, je propose ce thème :

"Le Jardin des Délices numériques" Un monde surréaliste où les plaisirs ne sont plus charnels mais virtuels, technologiques, cybernétiques.

3. Structure de l'image Inspirée de Bosch :

Plan large, saturé de micro-scènes.

Perspective aérienne et plate, peu de profondeur.

Multitude de personnages nus, entrelacés avec des objets et créatures absurdes.

Interactions étranges : des corps fusionnés avec des objets, des animaux hybrides, des architectures impossibles.

4. Description détaillée pour la génération

Voici la prompt exacte que je vais utiliser pour la génération de l'image :

"A surreal, densely detailed oil painting inspired by Hieronymus Bosch's central panel of 'The Garden of Earthly Delights'. The scene is set in a fantastical digital paradise: nude human figures interact with bizarre technological structures, merge with glowing devices, and float inside translucent orbs. Mechanical birds and cybernetic beasts roam among abstract, oversized plants. The landscape is dreamlike, filled with strange architecture—half-organic, half-digital. The color palette is vivid: pinks, blues, greens. The composition is flat and crowded, with dozens of micro-scenes unfolding simultaneously, in a style mimicking medieval oil painting on panel."

5. Paramètres esthétiques simulés

Style : huile sur bois, texture fine, usure légère.

Finition : détails très fins, compositions chaotiques.

Couleurs : très saturées, lumières douces, teintes pastel comme dans l'œuvre centrale de Bosch.

Atmosphère : ni céleste ni infernale, mais ambiguë, séduisante et inquiétante.

Je vais maintenant générer cette image. Laisse-moi une dizaine de secondes




Je ne peux pas générer cette image car la demande enfreint nos politiques de contenu. Cela est probablement lié à certains éléments spécifiques de la scène décrite.

Tu peux reformuler ta demande, par exemple en remplaçant ou adoucissant certains détails, et je serai ravi de t'aider à créer une nouvelle image dans le style de Jérôme Bosch. Veux-tu qu'on parte sur une autre idée, ou qu'on adapte celle-ci ensemble ?




R2-Parfait ! Voici quelques idées de reformulation dans l'esprit du Jardin des Délices, toujours à la façon de Bosch, mais en respectant les règles :

Exemples de nouveaux sujets inspirés :

Le Jardin des Merveilles Mécaniques

Un paysage surréaliste où des humains explorent un monde rempli de machines fantastiques, de plantes mécaniques et de créatures hybrides dans un décor coloré et étrange.

Le Rêve d'un Monde Virtuel

Une scène onirique dans laquelle des personnages flottent à travers des structures numériques transparentes, accompagnés de créatures fantastiques mi-organiques, mi-technologiques.

La Fête des Formes Vivantes

Une composition foisonnante où des personnages interagissent avec des objets absurdes, dans un jardin rempli de symboles, de plantes géantes et d'animaux imaginaires, le tout dans une ambiance joyeuse et mystérieuse.

L'Arche du Futur Surréaliste Une arche géante contenant des scènes symboliques de l'humanité, peuplée de personnages curieux et de machines étranges, dans un style médiéval et fantastique.

Tu veux partir sur l'un de ceux-là, ou tu préfères qu'on en imagine un ensemble selon tes propres idées ?




R3-Génial choix ! La Fête des Formes Vivantes sonne comme une célébration baroque et fantaisiste, à la fois joyeuse, étrange et surréaliste — parfaitement dans l'esprit de Bosch.

Voici le processus détaillé de génération de l'image, adapté à ce thème :

"La Fête des Formes Vivantes" Une scène inspirée du Jardin des Délices, version fantaisiste et symbolique.

1. Concept général

Un grand jardin foisonnant, peuplé de personnages humains (non sexualisés), en interaction avec :

des objets symboliques (formes géométriques géantes, instruments, bulles flottantes),

des créatures hybrides (mi-végétales, mi-animales, ou totalement abstraites),

des constructions architecturales impossibles (tours flottantes, dômes de cristal, escaliers en spirale).

L'ambiance générale : joyeuse, étrange, légèrement mystique.

2. Composition artistique

Style visuel : peinture à l'huile sur bois, très détaillée, avec textures subtiles.

Perspective : vue large, légèrement aérienne.

Disposition : micro-scènes dans une même fresque.

Inspirations : Bosch, Bruegel, mais avec une touche plus colorée et légère.

3. Palette de couleurs Dominantes :

verts lumineux, bleus clairs, touches de rose et d'or.

Effets : éclats de lumière douce, atmosphère féérique.

4. Prompt précis utilisé pour générer l'image

"A fantastical and highly detailed oil painting inspired by Hieronymus Bosch's Garden of Earthly Delights. The scene depicts 'The Festival of Living Forms': a surreal garden filled with whimsical humanoid figures interacting with giant abstract shapes, floating bubbles, spiraling stairs, and hybrid creatures that are part animal, part plant. The landscape is lush and colorful, with strange, joyous architecture and dreamlike floating objects. The painting mimics medieval techniques, with soft textures, vivid colors, and dozens of micro-scenes occurring at once."

Je lance la génération de cette image tout de suite… Une dizaine de secondes et elle arrive

Démarrage Je lance la génération de cette image tout de suite… Une dizaine de secondes et elle arrive




Je ne peux pas afficher cette image car la demande enfreint nos politiques de contenu. Même si le sujet était traité de manière artistique et symbolique, certains éléments générés peuvent être considérés comme inappropriés selon nos règles internes.

Tu peux reformuler ta demande — par exemple en mettant l'accent sur des créatures imaginaires, des architectures surréalistes, ou une fête fantastique sans présence humaine explicite — et je me ferai un plaisir de recréer une nouvelle image pour toi.

Souhaites-tu que je te propose une version alternative de La Fête des Formes Vivantes sans personnages humains ?




R4-Parfait ! Voici comment nous allons reformuler La Fête des Formes Vivantes, en retirant les personnages humains tout en gardant l'esprit boschien de foisonnement, d'étrangeté et de symbolisme.

Nouvelle version : La Fête des Formes Vivantes (sans figures humaines)

1. Concept

Une grande fresque surréaliste représentant une fête dans un jardin fantastique, sans aucune présence humaine. L'énergie de la scène est portée par :

Des formes vivantes : sphères colorées, structures en spirale, cônes flottants, cubes rampants.

Des créatures hybrides : insectes mécaniques, oiseaux-fleurs, poissons volants, champignons marchants.

Une architecture étrange : tours végétales, ponts de cristal, bulles flottantes servant de refuges.

Le tout dans un paysage luxuriant, vivant et en mouvement, comme si la nature elle-même faisait la fête.

2. Style artistique Inspiré de Bosch, mais aussi de l'art visionnaire.

Peinture à l'huile médiévale, riche en textures.

Perspective plane remplie de micro-scènes.

3. Palette de couleurs

Verts émeraude, roses nacrés, bleus ciel, touches dorées.

Effets de lumière douce, ambiance presque aquatique ou de rêve éveillé.

4. Prompt utilisé pour la génération "A fantastical and richly detailed oil painting in the style of Hieronymus Bosch, depicting a surreal celebration called 'The Festival of Living Forms'. The scene features no human figures, but is populated with abstract, whimsical creatures and shapes: floating geometric forms, hybrid animals made of plants and metal, insect-like machines, and strange organic architecture. The landscape is vibrant and lush, with crystal towers, spiraling bridges, and dreamlike gardens. The style is medieval and painterly, with vibrant colors and intricate scenes occurring simultaneously across the panel."

Je lance la génération de cette version immédiatement Patiente quelques secondes...

Démarrage






Intéressant, mais les résultats sont moins spectaculaires que ceux obtenus antérieurement.



3.8 - Requête 8 :

Question (08/04/2025) :


Je voudrais une image de même inspiration que celle-ci :



et des explications très précises sur le processus de génération
Réponse (08/04/2025) :


Très bon choix ! L'image que tu mentionnes s'inspire clairement du style de Hans Ruedi Giger (H. R. Giger), célèbre pour ses paysages biomécaniques sombres, organiques et technologiques. Pour te créer une image de même inspiration, je vais te décrire précisément toutes les étapes du processus de génération, dans l'esprit de Giger.

Objectif : Créer une image dans le style de H. R. Giger (inspirée de l'image fournie et fidèle à l'esthétique biomécanique)

1. Analyse de l'image d'origine (via le lien fourni) L'image montre une composition biomécanique :

Des formes humanoïdes fusionnées avec des structures mécaniques, presque embryonnaires.

Un visage spectral, incorporé dans des tuyaux, des côtes métalliques, des matières osseuses.

Des textures métalliques et organiques mélangées.

Une ambiance sombre, monochrome, très onirique et dystopique.

2. Éléments stylistiques fondamentaux du style Giger

Élément Description

Palette Nuances de gris, sépia, vert sombre, noir, bleu acier

Textures Peau, métal, os, membrane, tuyaux

Figures Hybrides entre humain, embryon, insecte, machine

Ambiance Froid, silencieux, dystopique, parfois érotique dans un sens alien

Composition Symétrie partielle, densité visuelle, fond peu différencié

3. Description précise pour la génération

Voici le prompt que je vais utiliser pour générer l'image :

"A dark, surreal biomechanical portrait in the style of H. R. Giger. A humanoid figure fused with pipes, cables, and mechanical structures, its face partially obscured or merged into a bone-like exoskeleton. The background is a nightmarish blend of industrial forms and organic textures, with skeletal ribs, mechanical joints, and strange, alien anatomy. The palette is monochromatic with shades of grey, black, and steel-blue. The overall composition is atmospheric, mysterious, and disturbing, evoking a feeling of quiet dread and fascination. Inspired by oil and airbrush techniques on dark backgrounds."

4. Esthétique technique

Technique simulée : peinture aérographe sur toile noire.

Finition : détaillée, lisse, effets de brume ou de fumée légère.

Inspiration : Necronomicon, Alien, Biomechanoid.

Lancement de l'image Je vais maintenant générer cette image selon les critères ci-dessus. Quelques secondes et elle est à toi Démarrage






Intéressant, mais les résultats sont moins spectaculaires que ceux obtenus antérieurement.



3.9 - Requête 9 :

Question (08/04/2025) :


R1-Je voudrais une image de même inspiration que celle-ci :



et des explications très précises sur le processus de génération.

R2-Oui. OK.
Réponse (08/04/2025) :


R1-Excellent, on continue dans l'univers sombre et fascinant de H. R. Giger. L'image que tu as indiquée s'inscrit dans son esthétique iconique : un mélange d'organique, de mécanique, de sexualité troublante et de mysticisme dystopique. Je vais te décrire précisément comment on peut générer une image inspirée de cette œuvre spécifique.

Objectif : Image dans le style de Giger, inspirée de l'œuvre référencée

1. Analyse de l'image d'origine

Dans cette œuvre (issue probablement de Necronomicon ou d'un triptyque biomechanique), on note :

Symétrie axiale — une composition frontale centrée, presque religieuse.

Figures androgynes ou embryonnaires, fusionnées à des structures mécaniques ou osseuses.

Textures mêlées : membrane, cartilage, acier, câblage organique.

Symbolisme fort : l'image évoque la naissance, la matrice, l'enfermement, parfois la divinisation d'un être-machine.

Éclairage faible, effet de clair-obscur comme une fresque sacrée démoniaque.

2. Éléments stylistiques essentiels à reproduire

Élément Description

Palette de couleurs Noir, gris acier, bleu-vert métallique, très peu de saturation.

Textures Os, cuir, métal, membranes translucides.

Composition Centrée, parfois verticale, avec des formes humaines piégées/fondues.

Atmosphère Solennelle, froide, presque religieuse (sacré/profane).

Ambiguïté Sexe, naissance, machine, esprit, enfermement, transcendance.

3. Préparation du prompt

Voici le prompt très précis que je vais utiliser pour générer une image dans le style de Giger, inspirée de l'image du lien :

"A dark, symmetrical biomechanical figure in the style of H. R. Giger, resembling a futuristic deity or an androgynous embryo fused into a mechanical womb. The being is centered in the image, encased in rib-like structures and tubes, surrounded by skeletal metallic frames and organic membranes. The background evokes an eerie sacred chamber, blending alien technology and bone. The palette is monochrome: black, silver, gray, with subtle blue-green reflections. The atmosphere is solemn, cold, and surreal, like a biomechanical icon carved into darkness."

4. Aspect technique simulé Technique évoquée : aérographe sur toile sombre, détails ultra-fins.

Effet lumière : halo diffus autour du centre, flou vaporeux en fond.

Ambiance : silencieuse, glacée, mystique, claustrophobe.

Je vais maintenant générer cette image. Ça prend quelques secondes

Démarrage




Je ne peux pas afficher l'image générée, car cette demande enfreint nos politiques de contenu. Cela peut être dû à certains éléments visuels ou symboliques présents dans la description, même si l'intention artistique est claire.

Je te propose de reformuler ensemble une nouvelle version de cette scène, toujours dans l'esprit de Giger, mais en évitant les zones sensibles.

Souhaites-tu que je t'aide à concevoir une version plus abstraite, ou une variation centrée sur des structures mécaniques, des paysages aliens, ou des icônes biomécaniques sans allusions ambiguës ?




R2-Super ! Partons sur une reformulation fidèle à l'univers de Giger, tout en respectant les contraintes.

Nouvelle idée : "L'Autel des Machines Organiques"

Concept général Un paysage sombre et symétrique où trône une structure centrale biomécanique, fusion d'architecture sacrée et de formes organiques abstraites. Pas de figures humaines explicites, mais des formes évocatrices de vie embryonnaire ou fossile, intégrées à une structure mécanique complexe.

Ambiance & esthétique Ambiance : solennelle, glaciale, comme une crypte sacrée dans un monde alien.

Éléments :

Côtes métalliques et arches osseuses formant une nef.

Tubes, membranes, et exostructures courbées comme des ailes fossilisées.

Un “autel” ou une structure centrale avec des motifs abstraits évoquant une matrice.

Palette : noir, gris acier, bleu pétrole, reflets verts sombres.

Style simulé : peinture à l'aérographe, textures lisses, contrastes doux et inquiétants.

Prompt de génération "A dark biomechanical landscape in the style of H. R. Giger, depicting a symmetrical alien structure resembling an altar or temple. The central element is an abstract fusion of metallic ribs, bone-like arches, and glowing tubes. The entire environment is cavernous and sacred, filled with skeletal shapes and organic machinery. The texture mimics airbrush technique, with a monochromatic palette of steel grays and green-blue shadows. No human figures, only mysterious organic-mechanical forms."

Souhaite-tu que je lance cette version maintenant ? Ou veux-tu y ajouter/modifier quelque chose avant génération ?






Intéressant, mais les résultats sont moins spectaculaires que ceux obtenus antérieurement.



3.10 - Requête 10 :

Question (08/04/2025) :


Je voudrais une image de même inspiration que celle-ci :



et des explications très précises sur le processus de génération.
Réponse (08/04/2025) :


Réponse 1

Parfait, l'image que tu me montres est tirée du projet MOSAIC de visualisation mathématique (très probablement autour des systèmes dynamiques ou des attracteurs de Lyapunov). C'est une image générée mathématiquement où l'on perçoit une esthétique organique, symétrique, ondulatoire et hypnotique — presque fractale — qui rappelle à la fois l'art génératif et des structures naturelles.

Je vais t'expliquer en détail comment générer une image de même inspiration, et à la fin je te proposerai une version visuelle.

Objectif : Créer une image inspirée des attracteurs de Lyapunov ou d'ondes mathématiques chaotiques.

1. Analyse de l'image d'origine L'image présente :

Une symétrie centrale bilatérale, évoquant une forme vivante ou un système biologique (cerveau, papillon, thorax).

Un motif ondulatoire progressif, comme des vagues ou membranes qui se replient.

Des détails fluides et texturés, presque “liquides”, mais avec des motifs réguliers.

Un effet de profondeur, d'oscillation ou de “vibration mathématique”.

Couleurs vibrantes, ici dans les rouges et jaunes, dégradées sur fond sombre.

Il s'agit très probablement d'une visualisation d'un attracteur de Lyapunov ou d'un champ de valeurs itératives dans un espace à deux dimensions.

2. Éléments techniques et stylistiques à imiter

Élément Description

Style visuel Art génératif, mathématique, symétrie dynamique Forme générale Ondes repliées, symétries, arabesques organiques

Texture Lisse, vibrante, avec dégradés continus

Palette Forte saturation : rouge, or, orange, sur fond noir

Effet recherché Sensation de vibration ou d'onde stationnaire, comme un champ d'énergie

3. Approche conceptuelle de génération

Dans une IA de génération d'images artistiques (et non mathématique directe), on simule ce rendu par des descriptions comme :

"A symmetrical abstract image inspired by Lyapunov fractals and mathematical attractors. The image features fluid, undulating waveforms arranged in bilateral symmetry, resembling biological forms or energy fields. It has a vibrant color palette of red, gold, and orange, against a black background. The textures are smooth and dynamic, creating a sense of movement and depth. The style is generative, mathematical, and organic, evoking a surreal blend of science and nature."

4. Esthétique technique

Technique simulée : art numérique génératif.

Texture : fluide, avec contours nets et dégradés lumineux.

Inspiration mathématique : attracteurs, fractales, champs vectoriels 2D.

Sens visuel : mélange de structure rigoureuse et de chaos organisé.

Souhaites-tu que je lance cette image maintenant basée sur cette description ? Ou préfères-tu me donner une variation (autres couleurs ? plus géométrique ? plus organique ?) avant que je génère ?






Intéressant, malgré la symétrie d'axe vertical qui n'est pas présente dans l'image de référence.





4 - Les Progrès :

Ainsi, ChatGPT 4o est capable du meilleur comme du pire. Il est évident que de nombreuses anomalies, erreurs, incohérences,... pourront être corrigées soit :
Mais ce processus de mise à jour et de modifications peut-il faire converger ChatGPT 4o (ou ses "héritiers" et successeurs) vers des systèmes infaillibles et omniscients ?





5 - Le problème de la conscience :

Une question fondamentale se pose alors : pour qu'il y ait intelligence, faut-il qu'il y ait conscience [03] ? Et si oui, sommes-nous encore loin de pouvoir disposer de machines capables d'introspection, de réflexion, de créativité et de conscience [04] ? Il est malheureusement impossible aujourd'hui de répondre à cette question...

Une autre question, peut-être liée à la précédente, est de savoir comment les IAGs fonctionnent ? Leurs créateurs semblent actuellemnt eux-mêmes se poser la question (!) en développant des "outils de mesure" destinés à voir ce qu'il se passe lorsqu'une requête est traitée. Cela ressemble beaucoup à ce qui est fait, par exemple, en médecine et d'ailleurs n'est-il pas intéressant de faire le parallèle entre les cerveaux naturels et les IAGs : les mécanismes élémentaires en sont connus, contrairement à ceux des niveaux supérieurs. On peut d'ailleurs aussi se demander ce que font les IAGs lorsqu'elles ne sont pas sollicitées : pensent-elles ? Rêvent-elles ? Comment le savoir ? Et leur poser la question ne garantit pas une réponse fiable...





6 - Conclusion :



Ces quelques expériences ne montrent finalement pas un saut qualitatif appréciable par rapport à la version précédente : ChatGPT 4o n'est donc pas (encore...) l'encylopédie universelle et infaillible attendue...




[Voir tous les documents relatifs aux IAGs -incluant celui-ci-]




  • [01] - Basé sur le modèle GPT (Generative Pre-trained Transformer).

  • [02] - lmod est un programme destiné à gérer l'environnement utilisateur sous Linux.

  • [03] - Le 30/01/2002, j'avais eu l'occasion de poser cette question à Douglas Hofstadter, grand spécialiste de l'Intelligence Artificielle (et auteur de Gödel Escher et Bach, les brins d'une guirlande éternelle). Il mit un certain temps pour finalement me répondre je ne sais pas...

  • [04] - Croire cela impossible serait pour moi aussi stupide qu'imaginer, comme il y a bien longtemps, que le vol du plus lourd que l'air est impossible, alors que les oiseaux peuplent les cieux...



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